Après Gingerbread, Ice Cream Sandwich ou KitKat, Google a donc choisi… Marshmallow pour baptiser la version 6.0 d'Android. Les fameuses guimauves sont molles et douces, mais le moteur de recherche a voulu faire d'Android 6.0 un foudre de guerre, avec de nombreuses améliorations « sous le capot ».
Plutôt que de multiplier les nouveautés (ce rôle a été dévolu au prédécesseur de Marshmallow, Android 5.0 Lollipop), cette nouvelle mouture est l'occasion pour Google d'améliorer les performances de son système d'exploitation mobile. La plateforme se veut ainsi plus rapide et plus sécurisée, tout en apportant des modifications dans plusieurs aspects de la plateforme comme l'authentification biométrique de l'utilisateur ou les notifications sur l'écran d'accueil.
Mais globalement, rien de révolutionnaire pour la vie de tous les jours, un peu à l'image du rival iOS 9 d'Apple. Les deux mises à jour vont d'ailleurs être disponibles à peu près en même temps à l'automne ; mais là où Apple s'est toujours arrangé pour que la majorité des utilisateurs soient servis, chez Google c'est plus compliqué : tout passe en effet par les opérateurs et les constructeurs qui doivent valider chaque étape des mises à jour. Résultat : la majorité des utilisateurs Android en sont encore à des versions antérieures du système.
Plutôt que de multiplier les nouveautés (ce rôle a été dévolu au prédécesseur de Marshmallow, Android 5.0 Lollipop), cette nouvelle mouture est l'occasion pour Google d'améliorer les performances de son système d'exploitation mobile. La plateforme se veut ainsi plus rapide et plus sécurisée, tout en apportant des modifications dans plusieurs aspects de la plateforme comme l'authentification biométrique de l'utilisateur ou les notifications sur l'écran d'accueil.
Mais globalement, rien de révolutionnaire pour la vie de tous les jours, un peu à l'image du rival iOS 9 d'Apple. Les deux mises à jour vont d'ailleurs être disponibles à peu près en même temps à l'automne ; mais là où Apple s'est toujours arrangé pour que la majorité des utilisateurs soient servis, chez Google c'est plus compliqué : tout passe en effet par les opérateurs et les constructeurs qui doivent valider chaque étape des mises à jour. Résultat : la majorité des utilisateurs Android en sont encore à des versions antérieures du système.