La Bourse trébuche
Après l'euphorie, la gueule de bois. Les Bourses dans leur ensemble subissent une correction significative depuis le début de l'année, avec des reculs qui inquiètent non seulement les petits porteurs, mais aussi les grandes fortunes qui voient leur portefeuille fondre au soleil. C'est le cas pour l'homme le plus riche de la planète, Elon Musk, dont les actifs sont passés de 268 milliards de dollars la semaine dernière à 229 milliards actuellement.
Et le patron de Tesla, futur propriétaire de Twitter, n'est pas le seul à accuser le coup. Jeff Bezos voit sa fortune baisser de 23 milliards à 133 milliards de dollars, celle de Bill Gates de 7 milliards à 120 milliards, tandis que Bernard Arnault recule de 12 milliards, avec une fortune estimée par Bloomberg Billionaires à 120 milliards également.
Et le patron de Tesla, futur propriétaire de Twitter, n'est pas le seul à accuser le coup. Jeff Bezos voit sa fortune baisser de 23 milliards à 133 milliards de dollars, celle de Bill Gates de 7 milliards à 120 milliards, tandis que Bernard Arnault recule de 12 milliards, avec une fortune estimée par Bloomberg Billionaires à 120 milliards également.
Les valeurs technologies désormais à la peine
Ce sont surtout les entreprises issues des technologies qui sont les plus durement frappées, après deux années durant lesquelles elles ont bénéficié d'une flambée de leur cours. En trois jours de cotation, leur capitalisation boursière a tout simplement fondu de 1.000 milliards de dollars ! Apple a perdu 220 milliards, Tesla près de 200 milliards, Microsoft 189 milliards… Personne n'est épargnée.
Ce sont les valeurs sûres qui en profitent : l'agroalimentaire ou la grande distribution bénéficient de ce regain d'intérêt des investisseurs qui cherchent de la sécurité. Au détriment des anciennes vedettes de la Bourse, accrochée aux annonces des Banques centrales cherchant à juguler l'inflation en remontant les taux.
Ce sont les valeurs sûres qui en profitent : l'agroalimentaire ou la grande distribution bénéficient de ce regain d'intérêt des investisseurs qui cherchent de la sécurité. Au détriment des anciennes vedettes de la Bourse, accrochée aux annonces des Banques centrales cherchant à juguler l'inflation en remontant les taux.