Au micro de BFM Business, le patron de l'entreprise Sébastien Bazin a pris les exemples des attentats de Londres et de Madrid pour estimer la durée des difficultés économies qui attendent Paris. « On apprend, par ce qui s’est passé à Londres, à Madrid, que ça prend du temps, deux mois, trois mois, quatre mois. C’est un trou d’air, ça va se résorber, à condition que la sécurité soit bien assurée par les pouvoirs publics. Mais trois, quatre mois probablement ».
Le secteur de l'hôtellerie parisienne bénéficie actuellement d'un répit grâce à la COP21 qui se déroule actuellement jusqu'au 11 décembre. Ensuite, « on va voir ce qui va se passer sur la deuxième quinzaine de décembre. Les réservations de dernière minute sont peu nombreuses par rapport à l’année dernière ».
Ce que voudrait Bazin dans l'immédiat, c'est de voir les messages de prévention concernant Paris disparaître des sites des ambassades. « Il faut que ces messages s’en aillent », estime-t-il. En revanche, il n'est pas question pour lui d'évoquer des promotions alors que les volumes sont si bas.
Le secteur de l'hôtellerie parisienne bénéficie actuellement d'un répit grâce à la COP21 qui se déroule actuellement jusqu'au 11 décembre. Ensuite, « on va voir ce qui va se passer sur la deuxième quinzaine de décembre. Les réservations de dernière minute sont peu nombreuses par rapport à l’année dernière ».
Ce que voudrait Bazin dans l'immédiat, c'est de voir les messages de prévention concernant Paris disparaître des sites des ambassades. « Il faut que ces messages s’en aillent », estime-t-il. En revanche, il n'est pas question pour lui d'évoquer des promotions alors que les volumes sont si bas.