L'intuition d'Henri Crohas, fondateur de l'entreprise et désormais président d'Archos, est d'exploiter les basses fréquences, que l'on utilise sans vraiment le savoir, comme par exemple pour ouvrir les parkings. Ce réseau peut aussi être utilisé pour connecter toutes sortes d'objets : l'un des avantages de ces basses fréquences est qu'elles consomment très peu, tout en portant des informations sur une longue distance.
Archos n'est pas seul sur ce marché. En France, Sigfox est aussi sur le coup, et des opérateurs sont également sur les rangs. L'aide financière de la BEI, qui injecte 12 millions d'euros au sein d'Archos, va permettre au constructeur de se différencier franchement de la concurrence : au lieu d'utiliser des antennes, la technologie d'Archos passe par des prises électriques, sur lesquelles ont branche des bornes.
Cette solution a l'avantage d'être extrêmement abordable : la couverture du territoire français revient à… 300 000 euros seulement, contre 3 millions pour Sigfox. Archos lancerait aussi des produits connectés histoire de boucler la boucle.
Archos n'est pas seul sur ce marché. En France, Sigfox est aussi sur le coup, et des opérateurs sont également sur les rangs. L'aide financière de la BEI, qui injecte 12 millions d'euros au sein d'Archos, va permettre au constructeur de se différencier franchement de la concurrence : au lieu d'utiliser des antennes, la technologie d'Archos passe par des prises électriques, sur lesquelles ont branche des bornes.
Cette solution a l'avantage d'être extrêmement abordable : la couverture du territoire français revient à… 300 000 euros seulement, contre 3 millions pour Sigfox. Archos lancerait aussi des produits connectés histoire de boucler la boucle.