Il était temps que la BCE intervienne pour remettre les pendules à l’heure. Les marchés sont désorientés depuis le début de l’année par les turbulences économiques en Chine et la baisse continue du prix du pétrole. Certaines places boursières sont même en pleine déconfiture, y compris en Europe.
Mario Draghi a expliqué devant la commission des Affaires économiques et monétaires du Parlement européen qu’il n’hésitera pas à faire usage de tous les leviers à sa disposition pour anticiper la baisse des prix dans l’Union monétaire. « Nous allons examiner la vigueur de la transmission de la faible inflation importée sur les salaires et la formation des prix et sur les anticipations d'inflation », a déclaré le président de l’institution.
De plus, « à la lumière des récentes turbulences financières, nous allons analyser la qualité de la transmission de nos incitations monétaires par le système financier et par les banques en particulier », a poursuivi Mario Draghi. Et si l’un ou l’autre de ces facteurs venait à entraîner des risques de baisse de l’inflation (qui n’est déjà pas bien élevée), « nous n'hésiterons pas à agir », assure-t-il.
Mario Draghi a expliqué devant la commission des Affaires économiques et monétaires du Parlement européen qu’il n’hésitera pas à faire usage de tous les leviers à sa disposition pour anticiper la baisse des prix dans l’Union monétaire. « Nous allons examiner la vigueur de la transmission de la faible inflation importée sur les salaires et la formation des prix et sur les anticipations d'inflation », a déclaré le président de l’institution.
De plus, « à la lumière des récentes turbulences financières, nous allons analyser la qualité de la transmission de nos incitations monétaires par le système financier et par les banques en particulier », a poursuivi Mario Draghi. Et si l’un ou l’autre de ces facteurs venait à entraîner des risques de baisse de l’inflation (qui n’est déjà pas bien élevée), « nous n'hésiterons pas à agir », assure-t-il.