
L’accord de fusion ferme signé mercredi entre Bayer et Monsanto est basé sur un prix de 128 dollars (144 euros) par action en numéraire. Depuis mai, le chimiste a dû revoir son offre à la hausse à plusieurs reprises avant d'obtenir l'accord du fabricant américain de pesticides.
« La transaction met ensemble deux activités différentes, explique Bayer dans un communiqué, mais fortement complémentaires. » De cette fusion naîtra un géant mondial pesant 23 milliards d'euros de chiffre d'affaires annuel et regroupant près de 140 000 employés. Ce rapprochement, que Bayer et Monsanto espèrent boucler d'ici fin 2017, devrait gonfler leur bénéfice brut d'exploitation d'environ 1,5 milliard de dollars au bout de trois ans.
De nombreuses critiques se sont élevées en Allemagne, un pays globalement opposé aux OGM. Mais le tout nouveau patron de Bayer, Werner Baumann, espère contrebalancer la mauvaise réputation de Monsanto par l'image de son propre groupe. Reste qu’à la Bourse de Francfort, cette fusion a été accueillie par une hausse de 2,39 % de l'action Bayer.
« La transaction met ensemble deux activités différentes, explique Bayer dans un communiqué, mais fortement complémentaires. » De cette fusion naîtra un géant mondial pesant 23 milliards d'euros de chiffre d'affaires annuel et regroupant près de 140 000 employés. Ce rapprochement, que Bayer et Monsanto espèrent boucler d'ici fin 2017, devrait gonfler leur bénéfice brut d'exploitation d'environ 1,5 milliard de dollars au bout de trois ans.
De nombreuses critiques se sont élevées en Allemagne, un pays globalement opposé aux OGM. Mais le tout nouveau patron de Bayer, Werner Baumann, espère contrebalancer la mauvaise réputation de Monsanto par l'image de son propre groupe. Reste qu’à la Bourse de Francfort, cette fusion a été accueillie par une hausse de 2,39 % de l'action Bayer.