Après les présentations d'usage, Benjamin Smith a mis les pieds dans le plat en expliquant que certaines compagnies aériennes n'avaient pas su s'adapter aux réalités du marché (Pan Am, Swissair, Sabena ou encore Olympic). Ces entreprises ont « disparu, faute d'avoir su évoluer ». D'autres sont au bord du gouffre, à l'instar d'Alitalia. Ces sociétés n'ont pas su réagir sur un marché en « constante évolution », a-t-il indiqué, « et qui connait une concurrence très dure ». Air France-KLM ne « peut pas se le permettre », assure-t-il. Le groupe franco-néerlandais va donc devoir évoluer s'il souhaite conserver la place au « top des groupes aériens ».
Le directeur général de l'entreprise annonce qu'un nouveau plan va être élaboré, pour adapter la compagnie aérienne au marché et la préparer à faire face à la concurrence. Tout n'est pas perdu pour Air France-KLM, qui possède des atouts forts : « nous pouvons conquérir à la fois les marchés européens, mais aussi mondiaux ». Mais il faudra franchir l'obstacle des « luttes internes », pointe-t-il en direction des syndicats. Ces luttes « offrent nos clients sur un plateau » à la concurrence. Il appelle la compagnie à « mériter la confiance » des voyageurs.
Benjamin Smith ne manque en tout cas pas d'ambition pour Air France-KLM. Il estime ainsi que l'entreprise peut atteindre la position de « numéro un de l'industrie, pas seulement en Europe, mais dans le monde ». Un objectif optimiste quand on connait les difficultés actuelles de la société, que ce soit en interne avec les mouvements sociaux rampants, ou en externe avec une concurrence toujours plus affûtée.
Le directeur général de l'entreprise annonce qu'un nouveau plan va être élaboré, pour adapter la compagnie aérienne au marché et la préparer à faire face à la concurrence. Tout n'est pas perdu pour Air France-KLM, qui possède des atouts forts : « nous pouvons conquérir à la fois les marchés européens, mais aussi mondiaux ». Mais il faudra franchir l'obstacle des « luttes internes », pointe-t-il en direction des syndicats. Ces luttes « offrent nos clients sur un plateau » à la concurrence. Il appelle la compagnie à « mériter la confiance » des voyageurs.
Benjamin Smith ne manque en tout cas pas d'ambition pour Air France-KLM. Il estime ainsi que l'entreprise peut atteindre la position de « numéro un de l'industrie, pas seulement en Europe, mais dans le monde ». Un objectif optimiste quand on connait les difficultés actuelles de la société, que ce soit en interne avec les mouvements sociaux rampants, ou en externe avec une concurrence toujours plus affûtée.