Les trottinettes électriques qui pullulent sur les trottoirs parisiens, parfois dans l'anarchie la plus complète, représentent malgré tout ces inconvénients un moyen pour réduire la place de la voiture dans les villes… et donc la pollution dans les milieux très urbains. La start-up Bird, pionnier américain en la matière, a lancé ses véhicules en « free floating » (libre service) à Paris en août 2018. Visiblement, l'implantation est réussie, puisque l'entreprise a annoncé son intention de faire de la capitale française sa base arrière pour conquérir le reste de l'Europe.
« Paris est une grande ville pour la micromobilité en général, et nous voulons continuer à investir dans la région », a expliqué à l'AFP Travis VanderZanden, le fondateur et PDG de Bird basé à Los Angeles. L'Europe représentera d'ici la fin de l'année la moitié de ses activités, à égalité avec les États-Unis. « Clairement, nous ne pouvons pas diriger l'Europe depuis Los Angeles, et avoir un siège fort à Paris fait sens ». La création de ce siège impliquera l'embauche de mille collaborateurs qui seront en charge de la gestion de la plateforme, mais aussi de la recharge des trottinettes électriques.
« Nous nous dirigeons vers un modèle avec des salariés, plutôt que des gens payés à la tâche » comme c'est le cas actuellement des « juicers » qui sont rémunérés « à la pièce ». Fort de cette annonce, Bird a bien l'intention de participer à l'appel d'offres de la mairie de Paris qui veut restreindre le nombre d'opérateurs à trois.
« Paris est une grande ville pour la micromobilité en général, et nous voulons continuer à investir dans la région », a expliqué à l'AFP Travis VanderZanden, le fondateur et PDG de Bird basé à Los Angeles. L'Europe représentera d'ici la fin de l'année la moitié de ses activités, à égalité avec les États-Unis. « Clairement, nous ne pouvons pas diriger l'Europe depuis Los Angeles, et avoir un siège fort à Paris fait sens ». La création de ce siège impliquera l'embauche de mille collaborateurs qui seront en charge de la gestion de la plateforme, mais aussi de la recharge des trottinettes électriques.
« Nous nous dirigeons vers un modèle avec des salariés, plutôt que des gens payés à la tâche » comme c'est le cas actuellement des « juicers » qui sont rémunérés « à la pièce ». Fort de cette annonce, Bird a bien l'intention de participer à l'appel d'offres de la mairie de Paris qui veut restreindre le nombre d'opérateurs à trois.