C’est fin janvier qu’un Boeing 787 de la compagnie Japan Airlines a rencontré un problème avec un de ses deux moteurs General Electric (GE) : il s’est arrêté sans crier gare, alors que l’avion était à 20 000 pieds d’altitude. Heureusement, l’équipage a pu poser sans encombres l’appareil avec un seul moteur, quelques minutes après l’incident.
Malgré cette fin sans conséquence, la FAA (l’autorité américaine de régulation aérienne) a déclaré que « L'éventualité d'une panne en plein vol des deux moteurs pour le même problème est une question de sécurité urgente ». L’agence fédérale exige de l’avionneur une révision des moteurs GE impliqués, ce qui représente 43 avions chez les compagnies aériennes américaines. Dans le monde — là où la FAA n’a aucune autorité —, il en circule 175, appartenant à 29 compagnies aériennes. Même si l’ordre ne les concerne pas directement, il est probable qu’elles aussi voudront inspecter les moteurs en question.
La modification demandée par les autorités américaines devra être appliquée d’ici le mois de septembre, indique-t-on du côté de General Electric. Une quarantaine d’avions ont d’ores et déjà obtenu cette réparation.
Malgré cette fin sans conséquence, la FAA (l’autorité américaine de régulation aérienne) a déclaré que « L'éventualité d'une panne en plein vol des deux moteurs pour le même problème est une question de sécurité urgente ». L’agence fédérale exige de l’avionneur une révision des moteurs GE impliqués, ce qui représente 43 avions chez les compagnies aériennes américaines. Dans le monde — là où la FAA n’a aucune autorité —, il en circule 175, appartenant à 29 compagnies aériennes. Même si l’ordre ne les concerne pas directement, il est probable qu’elles aussi voudront inspecter les moteurs en question.
La modification demandée par les autorités américaines devra être appliquée d’ici le mois de septembre, indique-t-on du côté de General Electric. Une quarantaine d’avions ont d’ores et déjà obtenu cette réparation.