Livraisons en décembre
L'avion vedette au catalogue de Boeing est cloué au sol depuis le printemps, suite à deux catastrophes aériennes. Depuis, le constructeur cherche à rassurer les autorités de régulation aérienne suite à la mise au point de correctifs logiciels. À en croire Boeing, la fin du cauchemar est proche : les livraisons auprès des compagnies aériennes devraient recommencer en décembre, ce qui soulagera la chaîne de production qui accumule les unités sans pouvoir les fournir.
Boeing n'en aura toutefois pas terminé. La reprise commerciale est désormais prévue en janvier, bien que deux compagnies (American Airlines et Southwest Airlines) ont annoncé que la reprise des vols attendra le mois de mars. Voire encore après si jamais les 737 MAX ne répondaient pas aux exigences de sécurité aérienne.
Boeing n'en aura toutefois pas terminé. La reprise commerciale est désormais prévue en janvier, bien que deux compagnies (American Airlines et Southwest Airlines) ont annoncé que la reprise des vols attendra le mois de mars. Voire encore après si jamais les 737 MAX ne répondaient pas aux exigences de sécurité aérienne.
Dans l'attente des régulateurs
Le constructeur a visiblement du mal à trouver un terrain d'entente avec les autorités de régulation aérienne qui ont interdit à l'avion de poursuivre ses activités. Les documents fournis par Boeing auprès de la FAA américaine et son homologue européenne n'étaient pas aux normes et ils présentaient des lacunes importantes, d'après Reuters. Dans un communiqué, l'entreprise explique prendre le temps nécessaire pour répondre aux questions des agences.
Boeing n'a de toutes manières pas le choix que de montrer patte blanche : ce sont les autorités qui valideront ou pas le retour du 737 MAX dans le ciel. L'avionneur devra ensuite retrouver la confiance des passagers : la méfiance envers l'avion est en effet très élevée et cela pourrait avoir un impact sur les plans de vol des compagnies aériennes.
Boeing n'a de toutes manières pas le choix que de montrer patte blanche : ce sont les autorités qui valideront ou pas le retour du 737 MAX dans le ciel. L'avionneur devra ensuite retrouver la confiance des passagers : la méfiance envers l'avion est en effet très élevée et cela pourrait avoir un impact sur les plans de vol des compagnies aériennes.