Les TPE, PME et les indépendants du numérique sont 60% à se dire confiantes dans l'avenir. C'est 4% de mieux que lors du précédent sondage, qui était à l'époque une enquête semestrielle (elle est devenue trimestrielle). Selon ces spécialistes du secteur, 65% voient une opportunité dans l'intelligence artificielle, notamment en termes de création d'emplois. Au passage, ce thème a été embrassé par Emmanuel Macron qui veut faire de la France la tête de pont européenne d'un domaine encore en friche mais où la Chine et les États-Unis ont pris pied. L'exécutif aura besoin des petites et moyennes entreprises du secteur pour réussir à positionner le pays dans cette course globale.
Optimisme d'un côté, mais prudence relative de l'autre. Ainsi, le niveau de confiance est de 54% chez les entreprises de moins de 10 salariés, contre 75% dans les PME de plus de 100 salariés. Les dirigeants se montrent volontiers plus optimistes quand ils sont à la tête de structures plus importantes. C'est aussi un indicateur déterminant pour les pouvoirs publics : ce sont les très petites entreprises qu'il faudra soutenir. Autres écueils : la trésorerie reste faibles dans la plupart de ces entreprises, tandis que les besoins de financement demeurent importants.
Le poste recherche et développement, fondamental pour ces sociétés, nécessite de gros investissements qui ne se trouvent pas nécessairement facilement. Pourtant, c'est la clé de l'innovation et de la croissance, et donc de la création d'emplois. Dernier enseignement du baromètre : la croissance est à chercher en province plutôt qu'à Paris. C'est en effet dans les régions que les opportunités existent et qu'elles peuvent être saisies plus facilement qu'à Paris.
Optimisme d'un côté, mais prudence relative de l'autre. Ainsi, le niveau de confiance est de 54% chez les entreprises de moins de 10 salariés, contre 75% dans les PME de plus de 100 salariés. Les dirigeants se montrent volontiers plus optimistes quand ils sont à la tête de structures plus importantes. C'est aussi un indicateur déterminant pour les pouvoirs publics : ce sont les très petites entreprises qu'il faudra soutenir. Autres écueils : la trésorerie reste faibles dans la plupart de ces entreprises, tandis que les besoins de financement demeurent importants.
Le poste recherche et développement, fondamental pour ces sociétés, nécessite de gros investissements qui ne se trouvent pas nécessairement facilement. Pourtant, c'est la clé de l'innovation et de la croissance, et donc de la création d'emplois. Dernier enseignement du baromètre : la croissance est à chercher en province plutôt qu'à Paris. C'est en effet dans les régions que les opportunités existent et qu'elles peuvent être saisies plus facilement qu'à Paris.
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