Mais le Royaume-Uni reste toujours et encore ancré dans l’UE, et le pays pourrait le rester pendant encore un long moment. Theresa May, la nouvelle Première ministre britannique, a demandé et obtenu du temps lors de sa visite à Berlin et à Paris peu après sa nomination. Le précédent gouvernement, persuadé de la victoire du maintien, n’avait préparé aucune alternative : le pays ne sait pas comment s’y prendre.
Et si l’activation de l’article 50 du traité de Lisbonne devait être effective d’ici la fin de cette année, désormais la presse anglaise évoque… la fin 2017 ! Les ministères en charge des négociations avec l’Union européenne manquent de personnel expérimenté pour les futures discussions avec l’UE ; de fait, il est possible qu’il faille encore attendre le bon vouloir de Londres qui, dans ce cadre, a la haute main sur le calendrier.
Le Royaume-Uni voudrait aussi attendre le résultat des élections en France et en Allemagne qui auront lieu l’année prochaine. Les négociations pour la sortie de l’Union doivent ensuite durer deux années ; cela repousse le Brexit à la fin de l’année 2019.
Et si l’activation de l’article 50 du traité de Lisbonne devait être effective d’ici la fin de cette année, désormais la presse anglaise évoque… la fin 2017 ! Les ministères en charge des négociations avec l’Union européenne manquent de personnel expérimenté pour les futures discussions avec l’UE ; de fait, il est possible qu’il faille encore attendre le bon vouloir de Londres qui, dans ce cadre, a la haute main sur le calendrier.
Le Royaume-Uni voudrait aussi attendre le résultat des élections en France et en Allemagne qui auront lieu l’année prochaine. Les négociations pour la sortie de l’Union doivent ensuite durer deux années ; cela repousse le Brexit à la fin de l’année 2019.