Le secteur laitier est particulièrement visé. Touché par la surproduction, celui-ci va recevoir 150 millions qui serviront à remonter les prix en réduisant la production. Le reste de l’enveloppe, c’est à dire 350 millions, seront distribués entre les États membres.
L’Allemagne recevra le plus gros chèque de 58 millions d’euros, suivie par la France avec 50 millions, et le Royaume-Uni (30 millions). Cet argent se destine à des aides directes, mais les États devront respecter des engagements édictés par la Commission européenne.
Quant aux 150 millions d’euros, ils serviront d’abord et avant tout à la limitation de la production de lait. Il s’agit dans ce cas « d'assurer que les agriculteurs dans toute l'Union y ont accès sous les mêmes conditions ». Pour le moment, on ne connait pas les détails de la répartition, mais ils seront mis au point dans les semaines à venir.
Ces sommes seront intégrées dans le budget prévisionnel de l’année prochaine ; des amendements sont prévus pour tenir compte de ces dispositifs.
L’Allemagne recevra le plus gros chèque de 58 millions d’euros, suivie par la France avec 50 millions, et le Royaume-Uni (30 millions). Cet argent se destine à des aides directes, mais les États devront respecter des engagements édictés par la Commission européenne.
Quant aux 150 millions d’euros, ils serviront d’abord et avant tout à la limitation de la production de lait. Il s’agit dans ce cas « d'assurer que les agriculteurs dans toute l'Union y ont accès sous les mêmes conditions ». Pour le moment, on ne connait pas les détails de la répartition, mais ils seront mis au point dans les semaines à venir.
Ces sommes seront intégrées dans le budget prévisionnel de l’année prochaine ; des amendements sont prévus pour tenir compte de ces dispositifs.