Casino va se départir de 2 milliards d'euros d'actifs d'ici à la fin du premier trimestre 2021. Cette somme, déjà importante, s'ajoute au plan actuel qui représente 2,5 milliards d'euros de cessions au premier trimestre 2020. La société de grande distribution cherche donc à se départir d'un total de 4,5 milliards d'actifs, alors que la première tranche a déjà atteint 2,1 milliards d'euros. Le conseil d'administration a validé cette nouvelle opération de grande ampleur, alors que se prépare le plan stratégique 2022 du groupe, plombé par la dette de la maison-mère Rallye. Reste à savoir quels sont les actifs qui vont être vendus.
La direction de Casino n'a pas précisé ses intentions, mais au vu de la somme à récupérer, des coupes claires sont attendues. Ce d'autant qu'aux 2 milliards du nouveau plan s'ajoutent les 400 millions du précédent qu'il va falloir aller chercher. Il reste à identifier les actifs à céder : le groupe compte un réseau encore important d'hypermarchés et de supermarchés, sans oublier les points de vente Leader Price.
Pour rester dans la course, Casino veut investir dans les secteurs les plus porteurs de croissance, comme le commerce en ligne (Cdiscount), le commerce de proximité (Monoprix, Franprix) et le premium. Les domaines de l'énergie et de la publicité sont également scrutés de près, même s'ils ne représentent pas grand chose encore. Dans son communiqué, Casino explique que ce nouveau plan de cession parachève la transformation du « modèle commercial » du groupe, ce qui lui permettra de mieux répondre aux besoins des consommateurs.
La direction de Casino n'a pas précisé ses intentions, mais au vu de la somme à récupérer, des coupes claires sont attendues. Ce d'autant qu'aux 2 milliards du nouveau plan s'ajoutent les 400 millions du précédent qu'il va falloir aller chercher. Il reste à identifier les actifs à céder : le groupe compte un réseau encore important d'hypermarchés et de supermarchés, sans oublier les points de vente Leader Price.
Pour rester dans la course, Casino veut investir dans les secteurs les plus porteurs de croissance, comme le commerce en ligne (Cdiscount), le commerce de proximité (Monoprix, Franprix) et le premium. Les domaines de l'énergie et de la publicité sont également scrutés de près, même s'ils ne représentent pas grand chose encore. Dans son communiqué, Casino explique que ce nouveau plan de cession parachève la transformation du « modèle commercial » du groupe, ce qui lui permettra de mieux répondre aux besoins des consommateurs.