La première chose que l’on remarque est que le montant des dégâts causés par les catastrophes naturelles en 2016 a fortement augmenté par rapport à l’année précédente : alors qu’ils ‘était établi )à près de 100 milliards de dollars en 2015, il explose et atteint 175 milliards de dollars en 2016. Une augmentation qui fait grimper le montant des catastrophes naturelles à un niveau jamais atteint depuis 2012 lorsque les dégâts avaient représenté une perte de 180 milliards de dollars.
2016 n’aura toutefois pas réclamé plus de vies qu’en 2015 : le séisme qui avait frappé le Népal cette année-là avait fait plus de 8 000 morts et avait fait grimper le bilan à 25 400 morts. En 2016 on ne déplore que 8 700 morts, la deuxième année la moins meurtrière depuis une trentaine d’année selon Munich Ré.
Moins de morts, donc, mais des dégâts dont les montants augmentent. Les assureurs, toutefois, n’auront pas à rembourser 175 milliards de dollars mais à peine plus de 50 milliards selon les estimations de Munich Ré qui précise qu’environ 71 % des dégâts liés aux catastrophes naturelles de 2016 n’étaient pas couverts par une clause d’assurance. L’exemple le plus emblématique est celui du tremblement de terre d’amatrice qui a frappé le centre de l’Italie : seulement 1 % des habitations touchées par le séisme avait un contrat d’assurance prenant en compte ce risque naturel et ce bien que l’Italie soit une zone fortement sismique.
2016 n’aura toutefois pas réclamé plus de vies qu’en 2015 : le séisme qui avait frappé le Népal cette année-là avait fait plus de 8 000 morts et avait fait grimper le bilan à 25 400 morts. En 2016 on ne déplore que 8 700 morts, la deuxième année la moins meurtrière depuis une trentaine d’année selon Munich Ré.
Moins de morts, donc, mais des dégâts dont les montants augmentent. Les assureurs, toutefois, n’auront pas à rembourser 175 milliards de dollars mais à peine plus de 50 milliards selon les estimations de Munich Ré qui précise qu’environ 71 % des dégâts liés aux catastrophes naturelles de 2016 n’étaient pas couverts par une clause d’assurance. L’exemple le plus emblématique est celui du tremblement de terre d’amatrice qui a frappé le centre de l’Italie : seulement 1 % des habitations touchées par le séisme avait un contrat d’assurance prenant en compte ce risque naturel et ce bien que l’Italie soit une zone fortement sismique.