Bertrand a aménagé une piste d’avion dans ses vignes et emmène ses clients pour leur fait découvrir les paysages des Graves et des Sauternes, les monuments historiques de la région, les grands crus classés de Saint-Émilion et de Pomerol ou le bassin d’Arcachon. Après avoir découvert la géologie et l’histoire du terroir bordelais, survolé Château Yquem ou Château Smith Haut Lafitte en Pessac, Bertrand et Emmanuelle vous invitent à découvrir leur production. Pour prolonger votre visite, un gîte cinq étoiles vous accueille dans la propriété.
Le succès est au rendez-vous et trois pilotes expérimentés emmènent un par un les clients passionnés, mais aussi des vignerons qui voient leurs vignes d’en haut pour la première fois ! Certains jours, cinq avions évoluent dans le ciel bordelais pour ces visites à basse altitude.
L’originalité de cette offre unique dans la région a permis à Château Vénus d’obtenir une reconnaissance internationale de haut niveau : le Best of Wine Tourism, concours annuel qui réunit à Bordeaux les châteaux les plus prestigieux, lui a attribué la médaille d’or dans la catégorie Découverte et innovation.
Le succès est au rendez-vous et trois pilotes expérimentés emmènent un par un les clients passionnés, mais aussi des vignerons qui voient leurs vignes d’en haut pour la première fois ! Certains jours, cinq avions évoluent dans le ciel bordelais pour ces visites à basse altitude.
L’originalité de cette offre unique dans la région a permis à Château Vénus d’obtenir une reconnaissance internationale de haut niveau : le Best of Wine Tourism, concours annuel qui réunit à Bordeaux les châteaux les plus prestigieux, lui a attribué la médaille d’or dans la catégorie Découverte et innovation.
Issu d’une lignée de vignerons, Bertrand Amart connaît la dureté et la complexité du travail de la vigne. « Il faut être né dedans ». C’est un métier de patience, il se passe cinq ans entre la première plantation et la première bouteille. Toute l’année, il faut être attentif à la vigne, car c’est ce qui permet de connaître le vin à venir et de s’adapter en permanence. Faire chaque vendange comme si c’était la première.
Ce métier est en fait une multitude de métiers et c’est ce qui lui plait. En une journée Bertrand est vigneron dans ses vignes pour « plier » la vigne et au chai pour réaliser le « collage » au blanc d’œuf qui facilitera la filtration du vin, puis il met sa casquette de pilote-instructeur pour un vol de certification ou pour un baptême de l’air, il accueille ensuite ses clients pour une dégustation et finit par notre interview !
Et quand il affirme « Il faut savoir tourner le dos à la tradition » loin de lui l’idée de dénigrer ce qui a été fait par les générations passées. Il sait que la sélection réalisée par tous ceux qui l’ont précédé lui permet de faire le meilleur choix de Merlot et Cabernet-Sauvignon pour son vin rouge, de Sauvignon et Sémillon, pour son vin blanc. Aujourd’hui, les progrès de la technologie ont réduit le travail ingrat et augmenté la productivité sans altérer la qualité du raisin et du terroir. Le vigneron peut se consacrer à améliorer ses connaissances en œnologie, à s’adapter aux aléas climatiques et à soigner l’accueil du client-consommateur par le développement de l’œnotourisme. Il s’agit de faire découvrir les vins dans leur terroir et leur histoire. Pourquoi parle-t-on de l’appellation Graves ?
Elle désigne un sol composé de graviers mélangés au sable et à l’argile. Dans les temps préhistoriques, la mer en se retirant laisse un lit de graviers qui borde la Garonne, « le fleuve caillouteux ». Les premières vignes sont plantées il y a 2000 ans et c’est Aliénor d’Aquitaine qui, par son mariage avec Henri II Plantagenêt, fait la fortune des vins de Bordeaux en ouvrant le commerce avec l’Angleterre.
Quand on survole Château Yquem, on comprend comment est produite cette pépite dorée de Sauternes. L'appellation bénéficie d'un climat local particulier. La rivière Ciron coule sous le couvert végétal de la forêt des Landes. Son eau froide amène de l'humidité. À l'automne, ce phénomène crée des brouillards matinaux. Ces brumes favorisent le développement du Botrytis cinerea en pourriture noble. Le grain se confit, sa pulpe se concentre en sucres et l'action de la pourriture noble donne des arômes de fruits confits caractéristiques.
Déguster du vin, c’est partager des connaissances, découvrir un millésime, le savoir-faire du vigneron, s’offrir un rêve. Cette recherche permanente d’excellence porte ses fruits. La clientèle est française (on veut se faire plaisir par un achat haut de gamme), européenne et asiatique. Les Chinois, la première génération de connaisseurs est très connaisseur ! Ils achètent, car c’est bon, c’est rare (le vignoble ne fait que 8 hectares), c’est un produit unique, une pépite française.
Château Vénus allie modernité et tradition. C’est un chai aux lignes épurées au milieu duquel trône un magnifique lustre vénitien en cristal coloré, la vinification se fait dans des cuves inox et l’élevage dans des barriques des plus beaux chênes du Centre France. Quand Emmanuelle et Bertrand rachètent un vignoble et des terres dans les Graves, une région viticole depuis les Romains, ils s’écartent de la tradition pour le choix du nom (le nom du propriétaire ou celui du lieu-dit de la propriété) et choisissent la protection de Vénus, déesse de la beauté, de l’amour, de la fertilité des sols et des labours. Et quand vous buvez du Vénus, Bertrand vous promet « un vin croquant, doux, aux tanins soyeux, un vin plaisir ». Un verre d’Apollon c’est « une bête de course, plus masculin, puissant, plein de charme et de douceur », quel programme !
Château Vénus, c’est la force d’un couple uni et complémentaire qui cultive l’humilité inhérente à leur passion et aborde chaque vendange comme si c’était la première, et sait puiser dans la tradition la force d’innover pour faire rayonner la joie de Bacchus et la plénitude de Vénus.
Christine de Langle
https://www.chateauvenus.fr/
Ce métier est en fait une multitude de métiers et c’est ce qui lui plait. En une journée Bertrand est vigneron dans ses vignes pour « plier » la vigne et au chai pour réaliser le « collage » au blanc d’œuf qui facilitera la filtration du vin, puis il met sa casquette de pilote-instructeur pour un vol de certification ou pour un baptême de l’air, il accueille ensuite ses clients pour une dégustation et finit par notre interview !
Et quand il affirme « Il faut savoir tourner le dos à la tradition » loin de lui l’idée de dénigrer ce qui a été fait par les générations passées. Il sait que la sélection réalisée par tous ceux qui l’ont précédé lui permet de faire le meilleur choix de Merlot et Cabernet-Sauvignon pour son vin rouge, de Sauvignon et Sémillon, pour son vin blanc. Aujourd’hui, les progrès de la technologie ont réduit le travail ingrat et augmenté la productivité sans altérer la qualité du raisin et du terroir. Le vigneron peut se consacrer à améliorer ses connaissances en œnologie, à s’adapter aux aléas climatiques et à soigner l’accueil du client-consommateur par le développement de l’œnotourisme. Il s’agit de faire découvrir les vins dans leur terroir et leur histoire. Pourquoi parle-t-on de l’appellation Graves ?
Elle désigne un sol composé de graviers mélangés au sable et à l’argile. Dans les temps préhistoriques, la mer en se retirant laisse un lit de graviers qui borde la Garonne, « le fleuve caillouteux ». Les premières vignes sont plantées il y a 2000 ans et c’est Aliénor d’Aquitaine qui, par son mariage avec Henri II Plantagenêt, fait la fortune des vins de Bordeaux en ouvrant le commerce avec l’Angleterre.
Quand on survole Château Yquem, on comprend comment est produite cette pépite dorée de Sauternes. L'appellation bénéficie d'un climat local particulier. La rivière Ciron coule sous le couvert végétal de la forêt des Landes. Son eau froide amène de l'humidité. À l'automne, ce phénomène crée des brouillards matinaux. Ces brumes favorisent le développement du Botrytis cinerea en pourriture noble. Le grain se confit, sa pulpe se concentre en sucres et l'action de la pourriture noble donne des arômes de fruits confits caractéristiques.
Déguster du vin, c’est partager des connaissances, découvrir un millésime, le savoir-faire du vigneron, s’offrir un rêve. Cette recherche permanente d’excellence porte ses fruits. La clientèle est française (on veut se faire plaisir par un achat haut de gamme), européenne et asiatique. Les Chinois, la première génération de connaisseurs est très connaisseur ! Ils achètent, car c’est bon, c’est rare (le vignoble ne fait que 8 hectares), c’est un produit unique, une pépite française.
Château Vénus allie modernité et tradition. C’est un chai aux lignes épurées au milieu duquel trône un magnifique lustre vénitien en cristal coloré, la vinification se fait dans des cuves inox et l’élevage dans des barriques des plus beaux chênes du Centre France. Quand Emmanuelle et Bertrand rachètent un vignoble et des terres dans les Graves, une région viticole depuis les Romains, ils s’écartent de la tradition pour le choix du nom (le nom du propriétaire ou celui du lieu-dit de la propriété) et choisissent la protection de Vénus, déesse de la beauté, de l’amour, de la fertilité des sols et des labours. Et quand vous buvez du Vénus, Bertrand vous promet « un vin croquant, doux, aux tanins soyeux, un vin plaisir ». Un verre d’Apollon c’est « une bête de course, plus masculin, puissant, plein de charme et de douceur », quel programme !
Château Vénus, c’est la force d’un couple uni et complémentaire qui cultive l’humilité inhérente à leur passion et aborde chaque vendange comme si c’était la première, et sait puiser dans la tradition la force d’innover pour faire rayonner la joie de Bacchus et la plénitude de Vénus.
Christine de Langle
https://www.chateauvenus.fr/