Les deux parties tentent désormais de trouver une issue à ce conflit social qui porte notamment sur la rémunération des chauffeurs. La multinationale américaine, première entreprise d’un secteur qu’elle a contribué à créer, a fait un pas vers ses chauffeurs. Elle a ainsi accepté la mise en place d’un fonds de soutien de 2 millions d’euros pour les « partenaires chauffeurs en difficulté ».
En revanche, Uber n’a rien dit concernant une éventuelle augmentation des tarifs ou encore sur la diminution de sa commission fixée à 25%. Les chauffeurs grévistes voudraient que ce taux repasse à 20% comme c’était le cas auparavant. Uber n’a cependant pas fermé la porte à cette éventualité, mais le groupe ne rejette pas cette mesure — mais si elle ne devrait être que « temporaire », le temps des négociations avec le médiateur du gouvernement.
Alain Vidalies, le secrétaire d’État aux Transports, a mis entre les mains des deux parties une proposition, un cycle de discussions portant sur quatre thématiques : « la tarification, les conditions de déconnexion des plateformes pour les chauffeurs, la protection sociale, et les charges ». Les discussions doivent s’achever d’ici le 31 janvier prochain.
En revanche, Uber n’a rien dit concernant une éventuelle augmentation des tarifs ou encore sur la diminution de sa commission fixée à 25%. Les chauffeurs grévistes voudraient que ce taux repasse à 20% comme c’était le cas auparavant. Uber n’a cependant pas fermé la porte à cette éventualité, mais le groupe ne rejette pas cette mesure — mais si elle ne devrait être que « temporaire », le temps des négociations avec le médiateur du gouvernement.
Alain Vidalies, le secrétaire d’État aux Transports, a mis entre les mains des deux parties une proposition, un cycle de discussions portant sur quatre thématiques : « la tarification, les conditions de déconnexion des plateformes pour les chauffeurs, la protection sociale, et les charges ». Les discussions doivent s’achever d’ici le 31 janvier prochain.