Partenaires inquiets
Visa et Mastercard, deux des premiers partenaires de Facebook dans l'aventure du Libra, s'inquiètent sur l'avenir de la cryptomonnaie après que celle-ci a provoqué une levée de boucliers réglementaires, en Europe comme aux États-Unis. Les deux entreprises, qui font partie de l'association fondatrice du Libra, craignent pour leur activité si les régulateurs devaient se mettre en travers de la devise.
L'association créée par Facebook pour assurer l'avenir du Libra compte 28 membres fondateurs, qui se réuniront en octobre pour en ratifier la charte. Si des partenaires ne veulent finalement plus faire partie de cette initiative, ils ne signeront pas le document. Des entreprises ont marqué leur intérêt pour la cryptomonnaie, il ne devrait donc pas être difficile de trouver des remplaçants en cas de désistements.
L'association créée par Facebook pour assurer l'avenir du Libra compte 28 membres fondateurs, qui se réuniront en octobre pour en ratifier la charte. Si des partenaires ne veulent finalement plus faire partie de cette initiative, ils ne signeront pas le document. Des entreprises ont marqué leur intérêt pour la cryptomonnaie, il ne devrait donc pas être difficile de trouver des remplaçants en cas de désistements.
Charte
Le Libra devrait être lancé l'année prochaine, probablement en octobre si aucun obstacle ne se met sur la route de cette nouvelle monnaie. Facebook a besoin de partenaires fiables dans cette aventure, l'entreprise de Mark Zuckerberg devant s'appuyer sur des membres solides pour convaincre de l'utilité de la devise.
Facebook doit également rassurer les régulateurs partout dans le monde, qui à l'image de la France ne veulent pas voir le Libra se substituer aux monnaies centralisées traditionnelles. La Banque centrale européenne elle-même a indiqué que son feu vert allait être très difficile à obtenir pour une diffusion du Libra sur le vieux continent.
Facebook doit également rassurer les régulateurs partout dans le monde, qui à l'image de la France ne veulent pas voir le Libra se substituer aux monnaies centralisées traditionnelles. La Banque centrale européenne elle-même a indiqué que son feu vert allait être très difficile à obtenir pour une diffusion du Libra sur le vieux continent.
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