L’index annonce qu’au deuxième trimestre, les dividendes versées par les entreprises françaises à leurs actionnaires ont progressé de 11,2%. Mine de rien, c’est la troisième hausse la plus rapide au monde. L’indice Henderson indique aussi que 90% des sociétés françaises ont augmenté ou maintenu les versements à leurs actionnaires.
Si la France sert donc plutôt bien les détenteurs de capitaux, l’ensemble de l’Europe est bien orienté également. En revanche, les dividendes ont ralenti aux États-Unis, en raison principalement de la force du dollar. Ils ont même connu la hausse la plus faible depuis 2013. Il en va d’ailleurs de même du yen, la devise japonaise ayant réduit les bénéfices des entreprises de l’archipel.
Dans leur globalité, les dividendes ont progressé de 1,2% par rapport au second trimestre de l’an passé. Ils ont atteint 421,6 millions de dollars. De quo satisfaire les actionnaires donc, mais gare : les versements devraient ralentir sur les six derniers mois de l’année.
Si la France sert donc plutôt bien les détenteurs de capitaux, l’ensemble de l’Europe est bien orienté également. En revanche, les dividendes ont ralenti aux États-Unis, en raison principalement de la force du dollar. Ils ont même connu la hausse la plus faible depuis 2013. Il en va d’ailleurs de même du yen, la devise japonaise ayant réduit les bénéfices des entreprises de l’archipel.
Dans leur globalité, les dividendes ont progressé de 1,2% par rapport au second trimestre de l’an passé. Ils ont atteint 421,6 millions de dollars. De quo satisfaire les actionnaires donc, mais gare : les versements devraient ralentir sur les six derniers mois de l’année.