Le communiqué était tout aussi attendu que craint. Ce jeudi 2 février, l'entreprise a annoncé que « le non-replacement d'une partie des départs en retraite devrait conduire à une baisse des effectifs d'environ 6% entre 2017 et 2019 ». Un plan de suppression d'emplois en bonne et due forme donc, même si EDF ne donne pas de chiffres précis.
La société avait déjà annoncé l'an dernier un premier plan social basé sur le non remplacement des départs en retraite. À l'époque, il s'agissait de supprimer de 2 300 à 4 200 postes entre 2016 et 2018. Mais ce nouveau plan va ajouter des centaines de suppressions supplémentaires. D'après Franceinfo, la direction aurait en tête de faire disparaitre entre 3 250 et 5 100 emplois d'ici la fin de l'année 2019.
Les syndicats craignent même qu'EDF veuille aller encore plus loin dans la réduction des effectifs. La coupe claire pourrait aller jusqu'à 7 000 suppressions de postes d'ici quatre ans. Force Ouvrière, qui estime que les salariés n'ont « pas à payer pour les erreurs » du principal actionnaire — l'État.
La société avait déjà annoncé l'an dernier un premier plan social basé sur le non remplacement des départs en retraite. À l'époque, il s'agissait de supprimer de 2 300 à 4 200 postes entre 2016 et 2018. Mais ce nouveau plan va ajouter des centaines de suppressions supplémentaires. D'après Franceinfo, la direction aurait en tête de faire disparaitre entre 3 250 et 5 100 emplois d'ici la fin de l'année 2019.
Les syndicats craignent même qu'EDF veuille aller encore plus loin dans la réduction des effectifs. La coupe claire pourrait aller jusqu'à 7 000 suppressions de postes d'ici quatre ans. Force Ouvrière, qui estime que les salariés n'ont « pas à payer pour les erreurs » du principal actionnaire — l'État.