(c) Shutterstock/EconomieMatin
Ségolène Royal, ministre de l'Écologie, a mis à profit le vieil adage selon lequel rien ne se perd, tout se transforme. « Nous avons plusieurs pistes de revente de ces portiques, d'utilisation des technologies qui sont à l'intérieur de ces portiques », a t-elle expliqué durant l'émission C Politique.
Parmi ces pistes, il est possible que les gendarmes puissent mettre à profit ces installations qui n'ont jamais servi pour la mesure des embouteillages; il pourrait aussi être possible de les recycler pour avertir d'intempéries. Des pistes qui pourraient être suivies d'autres.
La ministre de l'Écologie a en tout cas assuré qu'il n'y aurait « aucun gaspillage ». Cette technologie est censée « resservir » et mieux encore : « Cela va nous faire des rentrées financières ». Il en faudra : l'État a décidé de briser le contrat qui le liait à la société Ecomouv' en arguant d'un problème de constitutionnalité. Si le procès va à son terme, ce sont potentiellement des centaines de millions d'euros que la France devrait reverser à cette société.
Il y a actuellement 173 portiques installés sur le territoire. Chaque démontage coûtera entre 7 et 13 millions d'euros : on comprend mieux pourquoi le gouvernement veut en tirer le meilleur profit le plus rapidement possible.
Parmi ces pistes, il est possible que les gendarmes puissent mettre à profit ces installations qui n'ont jamais servi pour la mesure des embouteillages; il pourrait aussi être possible de les recycler pour avertir d'intempéries. Des pistes qui pourraient être suivies d'autres.
La ministre de l'Écologie a en tout cas assuré qu'il n'y aurait « aucun gaspillage ». Cette technologie est censée « resservir » et mieux encore : « Cela va nous faire des rentrées financières ». Il en faudra : l'État a décidé de briser le contrat qui le liait à la société Ecomouv' en arguant d'un problème de constitutionnalité. Si le procès va à son terme, ce sont potentiellement des centaines de millions d'euros que la France devrait reverser à cette société.
Il y a actuellement 173 portiques installés sur le territoire. Chaque démontage coûtera entre 7 et 13 millions d'euros : on comprend mieux pourquoi le gouvernement veut en tirer le meilleur profit le plus rapidement possible.