La nouvelle étude de l’Apec (association pour l’emploi des cadres) montre que la capitale et la centaine de communes limitrophes concentrent le plus de cadres en France. Sur les 2,9 millions de cadres en France, 750 000 — soit un gros quart — sont en effet parisiens ou dans la région parisienne. C’est 5,5 fois plus qu’à Lyon.
Ces cadres sont répartis dans des entreprises à haute intensité technologique (informatique, R&D, assurances…) synonymes de salaires élevés et de services de proximité de qualité. Il n’est donc pas étonnant de voir que Nantes et Toulouse, qui bénéficient d’atouts similaires, sont elles aussi bien représentés en termes de présence des cadres.
En revanche, Marseille, pourtant la deuxième ville de France en population, n’est que la cinquième à abriter des cadres, derrière Lyon, Toulouse et Saclay. La Corse se contente elle de compter seulement 0,2% des cadres, tandis que des régions comme la Picardie ou Rouen rencontrent de sérieuses difficultés.
Ces cadres sont répartis dans des entreprises à haute intensité technologique (informatique, R&D, assurances…) synonymes de salaires élevés et de services de proximité de qualité. Il n’est donc pas étonnant de voir que Nantes et Toulouse, qui bénéficient d’atouts similaires, sont elles aussi bien représentés en termes de présence des cadres.
En revanche, Marseille, pourtant la deuxième ville de France en population, n’est que la cinquième à abriter des cadres, derrière Lyon, Toulouse et Saclay. La Corse se contente elle de compter seulement 0,2% des cadres, tandis que des régions comme la Picardie ou Rouen rencontrent de sérieuses difficultés.