Plan de contingence
Fin juillet, le ministre des Transports, Clément Beaune, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont demandé aux entreprises de transport de travailler sur un « plan de sobriété ». L'idée étant de contribuer à réduire la consommation d'énergie de 10%. La SNCF doit en outre plancher sur un plan d'urgence et de contingence en cas de « grave problème » (canicule, approvisionnement). Mais il ne s'agit pas d'une commande gouvernementale spécifique, a assuré le ministère des Transports.
Une information du Parisien annonçait en effet que le gouvernement avait demandé à la SNCF de produire un plan de transport « dégradé » pour cet hiver en cas de grave crise énergétique. Le transporteur est en effet un important consommateur d'électricité. À l'AFP, le ministère des Transports a assuré que ce n'était pas le cas. En revanche, il est vrai que l'exécutif encourage la chasse au gaspillage.
Une information du Parisien annonçait en effet que le gouvernement avait demandé à la SNCF de produire un plan de transport « dégradé » pour cet hiver en cas de grave crise énergétique. Le transporteur est en effet un important consommateur d'électricité. À l'AFP, le ministère des Transports a assuré que ce n'était pas le cas. En revanche, il est vrai que l'exécutif encourage la chasse au gaspillage.
Pas de ralentissement des trains
Roland Lescure, le ministre délégué de l'Industrie, a fait savoir que l'objectif n'était pas « d'arrêter les trains de la SNCF : Le nombre de trains, sauf scénario extrêmement adverse, dans des cas particuliers où on devrait rationner l'énergie, on aura tous les trains qu'on souhaite, pour, par exemple, partir en vacances à Noël », a-t-il rassuré au micro de France Info.
Il n'est d'ailleurs pas question de ralentir les trains pour économiser de l'énergie, ce serait une « fausse bonne idée », a-t-il rappelé. Car cela reviendrait à perturber les plans de transport… Du côté de SNCF Voyageurs, on explique travailler à « tous les scénarios », « aucun n'est privilégié et aucun n'est décidé ». L'entreprise s'adaptera aux demandes du gouvernement.
Il n'est d'ailleurs pas question de ralentir les trains pour économiser de l'énergie, ce serait une « fausse bonne idée », a-t-il rappelé. Car cela reviendrait à perturber les plans de transport… Du côté de SNCF Voyageurs, on explique travailler à « tous les scénarios », « aucun n'est privilégié et aucun n'est décidé ». L'entreprise s'adaptera aux demandes du gouvernement.