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L’AEE estime ainsi que la politique environnementale de l’Union européenne a été bénéfique aux habitants du vieux continent, qui « jouissent d'un air et d'une eau plus purs, moins de déchets sont envoyés à la décharge et plus de ressources sont recyclées ». Mais tout est loin d’être parfait, souligne l’Agence.
Ainsi de la biodiversité : celle-ci continue à s’éroder. 77% des types d’habitats et 60% des espèces protégées sont actuellement dans un état de préservation « défavorable ». C’est tout particulièrement le cas pour les fonds marins, abîmés par la surpêche, malgré les quotas mis en place par Bruxelles. La Méditerranée souffre plus qu’en Atlantique ou en mer Baltique.
Autres problèmes sérieux relevés par l’Agence, la pollution de l’air et la pollution sonore. Ces deux nuisances continuent d’avoir « de sérieux impacts sur la santé dans les zones urbaines ». En Europe, on recense 430 000 morts prématurés dus à ces causes, notamment les particules fines contenues dans l’air. Quant au bruit excessif, il provoque « au moins 10 000 morts par malaise cardiaque ».
Le but que s’était fixé l’UE est donc très loin être atteint, l’Europe ayant fait vœu d’enrayer la baisse de la biodiversité avant 2020. Il semble bien improbable qu’en 5 ans, les habitudes aient radicalement changé.
Ainsi de la biodiversité : celle-ci continue à s’éroder. 77% des types d’habitats et 60% des espèces protégées sont actuellement dans un état de préservation « défavorable ». C’est tout particulièrement le cas pour les fonds marins, abîmés par la surpêche, malgré les quotas mis en place par Bruxelles. La Méditerranée souffre plus qu’en Atlantique ou en mer Baltique.
Autres problèmes sérieux relevés par l’Agence, la pollution de l’air et la pollution sonore. Ces deux nuisances continuent d’avoir « de sérieux impacts sur la santé dans les zones urbaines ». En Europe, on recense 430 000 morts prématurés dus à ces causes, notamment les particules fines contenues dans l’air. Quant au bruit excessif, il provoque « au moins 10 000 morts par malaise cardiaque ».
Le but que s’était fixé l’UE est donc très loin être atteint, l’Europe ayant fait vœu d’enrayer la baisse de la biodiversité avant 2020. Il semble bien improbable qu’en 5 ans, les habitudes aient radicalement changé.