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C'est Mariano Rajoy, Premier ministre espagnol, qui annonce cette révision de la croissance de l'Espagne pour 2015 ce lundi 27 avril 2015 : désormais le gouvernement table sur 2,9% de croissance, contre 2,4% estimés auparavant.
Selon le gouvernement une telle croissance devrait permettre au pays de créer "plus d'un demi-million d'emplois" a déclaré le Premier ministre lors d'un colloque a Madrid. Une bonne nouvelle alors que le pays fait face à un chômage très important, notamment chez les jeunes, qui empêche l'économie globale de repartir.
Si la prévision du gouvernement paraît énorme, elle reste confortée par la prévision similaire de la Banque d'Espagne qui prévoit, de son côté, 2,8% de croissance en 2015 après avoir relevé ses prévision fin mars 2015.
Là où les avis divergent c'est pour la croissance en 2016 que le gouvernement espagnol estime déjà à 2,9%. Pour la Banque d'Espagne elle pourrait n'être que de 2,7% à cause de facteurs externes qui pourraient légèrement miner les prévisions, notamment en cas de hausse de l'euro ou du pétrole.
Au premier trimestre 2015, toutefois, l'Espagne enregistrait un taux de chômage très élevé pour une économie en pleine croissance (1,4% en 2014) : pas moins de 23,78% des actifs n'avaient pas de travail.
Selon le gouvernement une telle croissance devrait permettre au pays de créer "plus d'un demi-million d'emplois" a déclaré le Premier ministre lors d'un colloque a Madrid. Une bonne nouvelle alors que le pays fait face à un chômage très important, notamment chez les jeunes, qui empêche l'économie globale de repartir.
Si la prévision du gouvernement paraît énorme, elle reste confortée par la prévision similaire de la Banque d'Espagne qui prévoit, de son côté, 2,8% de croissance en 2015 après avoir relevé ses prévision fin mars 2015.
Là où les avis divergent c'est pour la croissance en 2016 que le gouvernement espagnol estime déjà à 2,9%. Pour la Banque d'Espagne elle pourrait n'être que de 2,7% à cause de facteurs externes qui pourraient légèrement miner les prévisions, notamment en cas de hausse de l'euro ou du pétrole.
Au premier trimestre 2015, toutefois, l'Espagne enregistrait un taux de chômage très élevé pour une économie en pleine croissance (1,4% en 2014) : pas moins de 23,78% des actifs n'avaient pas de travail.