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Attention, ce chiffre impressionnant sur le papier s’explique en grande partie par son aspect saisonnier : 93% des créations d’emploi durant l’été sont temporaires au vu de l’activité estivale du pays. Et cela n’enlève rien au fait que le chômage est toujours aussi important en Espagne, puisqu’il touche 4,05 millions de personnes. Il s’agit néanmoins d’un plus bas depuis 2010. Et le taux de chômage se montait fin juin à 22,4%, là aussi un plus bas en trois ans.
Mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. La baisse du nombre de demandeurs d’emploi en juillet est double par rapport à celle enregistrée en juillet 2014, signe de la reprise économique. Ce volume est aussi deux fois plus important que la moyenne enregistrée sur les huit dernières années.
Le gouvernement espagnol prévoit un basculement sous le seuil des 20% d’ici un an. Les élections législatives, qui auront lieu au mois de novembre, seront l’occasion de voir si les électeurs créditent Mariano Rajoy pour cette baisse continue du chômage, dans un pays de plus en plus attiré par la gauche.
Mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. La baisse du nombre de demandeurs d’emploi en juillet est double par rapport à celle enregistrée en juillet 2014, signe de la reprise économique. Ce volume est aussi deux fois plus important que la moyenne enregistrée sur les huit dernières années.
Le gouvernement espagnol prévoit un basculement sous le seuil des 20% d’ici un an. Les élections législatives, qui auront lieu au mois de novembre, seront l’occasion de voir si les électeurs créditent Mariano Rajoy pour cette baisse continue du chômage, dans un pays de plus en plus attiré par la gauche.