Toutefois, cette croissance faible en juin n’inquiète pas les économistes : elle avait été calculée à ce niveau. Faut-il s’en inquiéter ? Pas réellement, du moins, pas encore. En juin, la croissance de l’économie se montait à 2,3% annuellement, tandis que le secteur immobilier est en pleine forme et où le marché du travail est toujours plus proche du plein emploi. Ces deux domaines vont prendre le relais de la consommation des ménages si le besoin s’en faisait sentir.
Parmi les baisses de consommation les plus sensibles, l’automobile a plongé de 1,3% après une hausse le mois précédent ; les dépenses en services ont aux progressé de 0,4%. Si on prend en compte l’inflation, la consommation des ménages a simplement stagné en juin alors qu’elle avait été de 0,4% en mai.
Les salariés ont pu profiter d’une troisième hausse mensuelle consécutive de leurs rémunérations, de 0,4% en juin. Quant à l’inflation (hors alimentation et énergie), elle se limite à +0,1% en juin, après un taux identique en avril et en mai.
Parmi les baisses de consommation les plus sensibles, l’automobile a plongé de 1,3% après une hausse le mois précédent ; les dépenses en services ont aux progressé de 0,4%. Si on prend en compte l’inflation, la consommation des ménages a simplement stagné en juin alors qu’elle avait été de 0,4% en mai.
Les salariés ont pu profiter d’une troisième hausse mensuelle consécutive de leurs rémunérations, de 0,4% en juin. Quant à l’inflation (hors alimentation et énergie), elle se limite à +0,1% en juin, après un taux identique en avril et en mai.