Le groupe italien Ferrero va lancer dans les rayons français un nouveau produit, Nutella Biscuits. Comme son nom l’indique, il s’agit donc d’un biscuit de cinq centimètres de diamètre qui contient une couche de la fameuse pâte à tartiner entre deux couches de farine au froment. Le paquet de 22 biscuits sera vendu 3,20 euros dans les grandes surfaces. Au contraire du B-Ready, qui se présente sous une forme individuelle, cette nouveauté se destine plutôt pour les moments de partage ou de grignotage.
Avec Nutella Biscuits, Ferrero espère réitérer la réussite de B-Ready, son précédent biscuit. Lancé en 2016, ce produit est le plus gros succès de ces dix dernières années au rayon biscuits. Il représente à lui seul 60 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel, et une part de marché de 4,2% du segment des biscuits au chocolat. Ferrero peut nourrir une certaine confiance dans ce nouveau produit : non seulement le succès de B-Ready est prometteur, mais en plus l’entreprise mise sur le succès de sa pâte à tartiner Nutella en France.
Nutella Biscuits a été testé dans quelques magasins français, où il a rencontré l’intérêt des consommateurs. Le taux de réachat s’est établi à 60%, tandis que le pourcentage de consommateurs ayant acheté le produit a grimpé à 23%. Avec de tels chiffres, Ferrero — qui fait fabriquer le biscuit dans le nord de l’Italie — peut croire en ses chances. L’entreprise est numéro deux du marché français depuis son acquisition de Delacre.
Avec Nutella Biscuits, Ferrero espère réitérer la réussite de B-Ready, son précédent biscuit. Lancé en 2016, ce produit est le plus gros succès de ces dix dernières années au rayon biscuits. Il représente à lui seul 60 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel, et une part de marché de 4,2% du segment des biscuits au chocolat. Ferrero peut nourrir une certaine confiance dans ce nouveau produit : non seulement le succès de B-Ready est prometteur, mais en plus l’entreprise mise sur le succès de sa pâte à tartiner Nutella en France.
Nutella Biscuits a été testé dans quelques magasins français, où il a rencontré l’intérêt des consommateurs. Le taux de réachat s’est établi à 60%, tandis que le pourcentage de consommateurs ayant acheté le produit a grimpé à 23%. Avec de tels chiffres, Ferrero — qui fait fabriquer le biscuit dans le nord de l’Italie — peut croire en ses chances. L’entreprise est numéro deux du marché français depuis son acquisition de Delacre.