Le constructeur veut produire des véhicules autonomes, sans volant, sans pédale d’accélération ni de frein, d’après le mot de Mark Fields, le patron de Ford. Pour ce faire, le groupe mise sur de nombreux partenariats avec des start-up spécialisées dans les capteurs Lidar (un ensemble d’outils qui permettent aux voitures de cartographier leur environnement), dans l’intelligence artificielle et la vision.
Ford a également mis sur pied un campus dans la Silicon Valley californienne, afin d’attirer les ingénieurs et les scientifiques qui travaillent habituellement pour les constructeurs informatiques. De quoi développer les compétences indispensables aux voitures autonomes.
Tout cela devra permettre au groupe automobile de produire des voitures sans chauffeur en quantité à l’horizon 2021. Mais ces véhicules ne se destinent pas au grand public, du moins pas dans un premier temps, Ford voulant investir le marché de la réservation de taxis et les services de voitures partagées. Des secteurs d’activité qui intéressent au plus haut point la concurrence, en particulier GM avec le VTC Lyft.
Ford a également mis sur pied un campus dans la Silicon Valley californienne, afin d’attirer les ingénieurs et les scientifiques qui travaillent habituellement pour les constructeurs informatiques. De quoi développer les compétences indispensables aux voitures autonomes.
Tout cela devra permettre au groupe automobile de produire des voitures sans chauffeur en quantité à l’horizon 2021. Mais ces véhicules ne se destinent pas au grand public, du moins pas dans un premier temps, Ford voulant investir le marché de la réservation de taxis et les services de voitures partagées. Des secteurs d’activité qui intéressent au plus haut point la concurrence, en particulier GM avec le VTC Lyft.