2 millions de dollars par mois
Sundar Pichai, le CEO de Google, a gravi un nouvel échelon début décembre lorsque les cofondateurs du moteur de recherche, Larry Page et Sergey Brin, ont décidé de quitter leurs fonctions dirigeantes à la tête d’Alphabet, la maison-mère de Google. Ce faisant, ils laissent la place à Sundar Pichai qui conserve son poste chez Google, mais devient également CEO d’Alphabet. Beaucoup de responsabilités qui seront bien récompensées : sa rémunération mensuelle va ainsi passer de 650 000 dollars actuellement, à 2 millions de dollars l’année prochaine.
Et ce n’est pas tout. La direction d’Alphabet — qui compte toujours Larry Page et Sergey Brin dans ses rangs — ont alloué des actions dont le montant peut dépasser les 200 millions de dollars. Ce « paquet » de titres lui sera attribué en fonction des performances de Google (à hauteur de 90 millions), ainsi que des actions échelonnées dans le temps (pour un maximum de 120 millions).
Et ce n’est pas tout. La direction d’Alphabet — qui compte toujours Larry Page et Sergey Brin dans ses rangs — ont alloué des actions dont le montant peut dépasser les 200 millions de dollars. Ce « paquet » de titres lui sera attribué en fonction des performances de Google (à hauteur de 90 millions), ainsi que des actions échelonnées dans le temps (pour un maximum de 120 millions).
Google sous le feu des critiques
La valeur de ces actions variera en fonction du marché et les résultats du groupe. De quoi pousser Sundar Pichai à demander le meilleur de ses troupes et à rester en place à la tête d’Alphabet, s’il souhaite exercer ses droits sur ces actions. Le patron de l’entreprise devra se montrer fin politique, Google faisant l’objet d’un certain nombre d’enquêtes des régulateurs américain et européen.
Google est régulièrement accusé de mauvaises pratiques en matière de fiscalité et d’abuser de sa position dominante dans le secteur de la publicité en ligne et de la recherche. Deux secteurs où Google est leader et pèse très lourd.
Google est régulièrement accusé de mauvaises pratiques en matière de fiscalité et d’abuser de sa position dominante dans le secteur de la publicité en ligne et de la recherche. Deux secteurs où Google est leader et pèse très lourd.
Inscription Newsletter
