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L’INSEE n’avait pas de très bonnes nouvelles à annoncer concernant l’état de l’économie en France au second trimestre. C’est l’investissement en biens d’équipements qui plombe la croissance, cet indicateur ayant trébuché de -0,3%. La consommation des ménages, véritable moteur économique du pays, est elle en légère croissance de +0,1%, alors qu’elle se montait à +0,9% au premier trimestre.
Pour le huitième trimestre consécutif, le secteur de la construction est en recul avec une baisse de -1,3%. En revanche, le commerce extérieur, qui bénéficie de la basse de l’euro face au dollar, affiche une croissance de 0,3%. Tout cela aurait dû porter la hausse du PIB à +0,4%, mais voilà : le déstockage a coûté cher, soit… 0,4 points de PIB. Résultat nul au final, donc.
Du côté de l’Allemagne, la croissance a été de +0,4% au deuxième trimestre, un bon chiffre sur le papier, mais les estimations étaient de +0,5%. La Grande-Bretagne, toujours en grande forme, avait annoncé une hausse de +0,7%. L’acquis de croissance pour la France est de +0,8% pour 2015.
Pour le huitième trimestre consécutif, le secteur de la construction est en recul avec une baisse de -1,3%. En revanche, le commerce extérieur, qui bénéficie de la basse de l’euro face au dollar, affiche une croissance de 0,3%. Tout cela aurait dû porter la hausse du PIB à +0,4%, mais voilà : le déstockage a coûté cher, soit… 0,4 points de PIB. Résultat nul au final, donc.
Du côté de l’Allemagne, la croissance a été de +0,4% au deuxième trimestre, un bon chiffre sur le papier, mais les estimations étaient de +0,5%. La Grande-Bretagne, toujours en grande forme, avait annoncé une hausse de +0,7%. L’acquis de croissance pour la France est de +0,8% pour 2015.