On prête désormais à Free Mobile de s'intéresser au marché britannique. Iliad aurait, d'après le Financial Times, approché l'équivalent de l'Arcep anglais, l'Ofcom, afin de s'implanter outre Manche. On ignore de quelle manière l'opérateur français pourrait aborder ce marché, mais des opportunités existent.
Car comme en France, le paysage anglais de la téléphonie est en plein bouleversement. Three, le quatrième opérateur du pays, a des vues sur O2, le numéro deux du marché. Si cette acquisition devait se réaliser, il faudra nécessairement que la nouvelle entité abandonne à la concurrence quelques uns de ses actifs : Free pourrait en profiter pour grappiller un réseau, des boutiques… Bref, de quoi se lancer.
Seul problème : l'intérêt pour ces actifs est aussi très fort chez des acteurs locaux comme TalkTalk ou Sky. Les enchères risquent donc d'être élevées, surtout si Free se décide à jouer le jeu. Mais sur un marché français en phase de consolidation (notamment avec les discussions entre Orange et Bouygues), le trublion doit se positionner ailleurs pour s'assurer d'une croissance externe.
Car comme en France, le paysage anglais de la téléphonie est en plein bouleversement. Three, le quatrième opérateur du pays, a des vues sur O2, le numéro deux du marché. Si cette acquisition devait se réaliser, il faudra nécessairement que la nouvelle entité abandonne à la concurrence quelques uns de ses actifs : Free pourrait en profiter pour grappiller un réseau, des boutiques… Bref, de quoi se lancer.
Seul problème : l'intérêt pour ces actifs est aussi très fort chez des acteurs locaux comme TalkTalk ou Sky. Les enchères risquent donc d'être élevées, surtout si Free se décide à jouer le jeu. Mais sur un marché français en phase de consolidation (notamment avec les discussions entre Orange et Bouygues), le trublion doit se positionner ailleurs pour s'assurer d'une croissance externe.