Free Mobile suit sa trajectoire ascendante. L'opérateur mobile, lancé en 2012, continue de recruter de nouveaux abonnés grâce à ses offres simples et qui ne cessent de s'enrichir, en particulier le forfait à 19,99 euros. L'entreprise a accueilli un million de nouveaux clients l'an dernier, dont une bonne partie provenant des déçus de SFR. En tout, l'opérateur compte 13,7 millions de clients et atteint une part de marché de 19%. L'objectif, c'est désormais de viser les 25%. 60% des clients de Free Mobile utilisent le réseau 4G du groupe.
Le petit forfait à 2 euros reste populaire, mais moins que la formule haut de gamme qui pèse désormais plus lourd dans la balance. Si tout va bien du côté du mobile, l'activité « historique » de Free, c'est à dire l'accès fixe à internet, accuse le coup. L'entreprise dénombre 6,5 millions de clients, un chiffre en progression légère sur l'année, mais le revenu moyen par abonné baisse : il se chiffre désormais à 33,90 euros, contre 34,70 euros l'année précédente. Cette baisse s'explique par le nombre significatif de promotions qui ont été orchestrées tout au long de l'année pour écouler des forfaits internet, notamment via des ventes privées à 2 euros.
Le marché est en attente de la nouvelle Freebox, septième version d'un best-seller qui tarde à arriver. Et qui pourrait propulser de nouveau les revenus moyens. Mais pour le moment, Free doit faire le dos rond. Il faut aussi pousser sur la fibre : le fournisseur d'accès ne compte que 560 000 abonnés fibre, même si l'entreprise a enregistré 250 000 nouveaux clients en 2017.
Le petit forfait à 2 euros reste populaire, mais moins que la formule haut de gamme qui pèse désormais plus lourd dans la balance. Si tout va bien du côté du mobile, l'activité « historique » de Free, c'est à dire l'accès fixe à internet, accuse le coup. L'entreprise dénombre 6,5 millions de clients, un chiffre en progression légère sur l'année, mais le revenu moyen par abonné baisse : il se chiffre désormais à 33,90 euros, contre 34,70 euros l'année précédente. Cette baisse s'explique par le nombre significatif de promotions qui ont été orchestrées tout au long de l'année pour écouler des forfaits internet, notamment via des ventes privées à 2 euros.
Le marché est en attente de la nouvelle Freebox, septième version d'un best-seller qui tarde à arriver. Et qui pourrait propulser de nouveau les revenus moyens. Mais pour le moment, Free doit faire le dos rond. Il faut aussi pousser sur la fibre : le fournisseur d'accès ne compte que 560 000 abonnés fibre, même si l'entreprise a enregistré 250 000 nouveaux clients en 2017.
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