La croissance économique, c'est bien évidemment la principale inquiétude des membres du G20. Entre la menace terroriste, le Brexit et le ralentissement de l'activité dans les pays émergents (notamment au Brésil et, dans une moindre mesure, en Chine), il est de la responsabilité des vingt premières économies de la planète d'afficher la couleur : oui, ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour relancer la machine.
Le communiqué issu de la réunion est on ne peut plus clair : le G20 se dit « déterminé » à utiliser « tous les outils disponibles, monétaires, budgétaires et structurels » pour faire en sorte d'obtenir une croissance « solide, durable, équilibrée et inclusive ». La politique monétaire sera un des leviers qui permettront à tous de relever le défi. Le fardeau revient donc en partie aux banques centrales. En Europe, la BCE a déjà injecté des dizaines de milliards d'euros pour éviter le spectre de la déflation.
Par ailleurs, les membres du G20 se sont engagés à refuser les outils protectionnistes et à renforcer le système commercial multilatéral, seul à même de créer de la richesse et de l'activité.
Le communiqué issu de la réunion est on ne peut plus clair : le G20 se dit « déterminé » à utiliser « tous les outils disponibles, monétaires, budgétaires et structurels » pour faire en sorte d'obtenir une croissance « solide, durable, équilibrée et inclusive ». La politique monétaire sera un des leviers qui permettront à tous de relever le défi. Le fardeau revient donc en partie aux banques centrales. En Europe, la BCE a déjà injecté des dizaines de milliards d'euros pour éviter le spectre de la déflation.
Par ailleurs, les membres du G20 se sont engagés à refuser les outils protectionnistes et à renforcer le système commercial multilatéral, seul à même de créer de la richesse et de l'activité.