Selon les informations communiquées ce mardi par l'Expansion, Google vient d'investir une somme considérable dans une petite start-up basée en France, à Rennes. Débutées il y a un an, les négociations auraient abouti sur un montant de 16,9 millions d'euros.
Née en 2008, FlexyCore était dirigée jusqu'alors par Gilbert Cabilic, un ancien chercheur de l'Inria, un organisme public de recherche spécialisé dans la technologie numérique, et ancien directeur du centre de recherche et développement rennais de Texas Instrument.
La société s'est surtout fait connaître dans le monde informatique grâce à sa solution logicielle "DroidBooster", qui permet notamment d'accélérer les performances des téléphones sous Android. Particulièrement destinée aux constructeurs qui souhaitent faciliter l'utilisation de leurs smartphones sans trop user la batterie, c'est vraisemblablement cette application qui a attiré Google.
Pour autant, FlexyCore n'est pas la première start-up à attirer Google. L'an dernier, le moteur de recherche avait acquis Sparrow, une start-up parisienne à l'origine d'une application de messagerie pour iPhone et Mac. A l'époque, on parlait d'une transaction, presque semblable à FlexyCore, de 15 millions d'euros.
Née en 2008, FlexyCore était dirigée jusqu'alors par Gilbert Cabilic, un ancien chercheur de l'Inria, un organisme public de recherche spécialisé dans la technologie numérique, et ancien directeur du centre de recherche et développement rennais de Texas Instrument.
La société s'est surtout fait connaître dans le monde informatique grâce à sa solution logicielle "DroidBooster", qui permet notamment d'accélérer les performances des téléphones sous Android. Particulièrement destinée aux constructeurs qui souhaitent faciliter l'utilisation de leurs smartphones sans trop user la batterie, c'est vraisemblablement cette application qui a attiré Google.
Pour autant, FlexyCore n'est pas la première start-up à attirer Google. L'an dernier, le moteur de recherche avait acquis Sparrow, une start-up parisienne à l'origine d'une application de messagerie pour iPhone et Mac. A l'époque, on parlait d'une transaction, presque semblable à FlexyCore, de 15 millions d'euros.