Le grand débat, voulu et mis en place par l’exécutif suite au mouvement des « gilets jaunes », est terminé après trois mois de discussions partout en France. Les conclusions sont maintenant entre les mains du gouvernement, qui va en tirer les leçons et surtout, agir afin de répondre au « besoin de changement radical » exprimé par les Français durant ces consultations, comme l’a expliqué Edouard Philippe. Lors d’un discours au Grand Palais, le Premier ministre a donné les grandes lignes de l’action du gouvernement. Dans la ligne de mire de l’hôte de Matignon : les impôts.
Il faut en effet « baisser plus vite les impôts », retient Edouard Philippe. Les Français font face à une « immense exaspération fiscale » : la « première exigence » de l’exécutif, c’est donc de répondre à cette « tolérance fiscale zéro ». « les débats, je le crois, nous indiquent clairement la direction à prendre : nous devons baisser et baisser plus vite les impôts », a-t-il martelé. Le Premier ministre et Emmanuel Macron, qui va rendre ses premiers arbitrages dans quelques jours, ont l’intention de prendre des mesures fortes.
« Nous sommes parvenus à une situation où hésiter serait pire qu’une erreur, ce serait une faute. Le besoin de changement est si radical que tout conservatisme, toute frilosité serait à mes yeux impardonnable », a asséné Edouard Philippe, en rappelant que « nous ne pourrons plus gouverner comme avant ». Des mesures pour améliorer les outils démocratiques sont à prévoir, les Français exigeant « une démocratie plus représentative, plus transparente, plus efficace et une exemplarité encore renforcée ».
Il faut en effet « baisser plus vite les impôts », retient Edouard Philippe. Les Français font face à une « immense exaspération fiscale » : la « première exigence » de l’exécutif, c’est donc de répondre à cette « tolérance fiscale zéro ». « les débats, je le crois, nous indiquent clairement la direction à prendre : nous devons baisser et baisser plus vite les impôts », a-t-il martelé. Le Premier ministre et Emmanuel Macron, qui va rendre ses premiers arbitrages dans quelques jours, ont l’intention de prendre des mesures fortes.
« Nous sommes parvenus à une situation où hésiter serait pire qu’une erreur, ce serait une faute. Le besoin de changement est si radical que tout conservatisme, toute frilosité serait à mes yeux impardonnable », a asséné Edouard Philippe, en rappelant que « nous ne pourrons plus gouverner comme avant ». Des mesures pour améliorer les outils démocratiques sont à prévoir, les Français exigeant « une démocratie plus représentative, plus transparente, plus efficace et une exemplarité encore renforcée ».