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Alexis Tsipras a notamment rencontré le précisant de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, afin d'évoquer avec lui les grandes lignes de son programme de gouvernement. L'objectif de la Grèce est de continuer à respecter les règles de l'UE, tout corrigeant le cadre, « pas le détruire ». Une solution commune, viable, est possible, a-t-il affirmé, tout en assumant le mandat clair du peuple grec.
À Bruxelles, le Premier ministre grec a proposé à Jean-Claude Juncker de mettre sur pied un accord de transition qui donnerait au pays une marge financière pour avancer plus facilement. On trouverait dans ce programme des réformes profondes concernant la corruption et le renforcement de l'efficacité de la fonction publique, ainsi qu'un plan de réformes budgétaires afin d'honorer les promesses de campagne.
En échange, le gouvernement grec cherche à obtenir une plus grande souplesse de la part de ses créanciers européens, notamment la contrainte sur l'excédent budgétaire primaire de 4,5% du PIB, qui sert à rembourser la dette.
À Paris, Alexis Tsipras veut obtenir le soutien de François Hollande, qu'il appelle à jouer un rôle de premier plan en faveur de la croissance en Europe.
À Bruxelles, le Premier ministre grec a proposé à Jean-Claude Juncker de mettre sur pied un accord de transition qui donnerait au pays une marge financière pour avancer plus facilement. On trouverait dans ce programme des réformes profondes concernant la corruption et le renforcement de l'efficacité de la fonction publique, ainsi qu'un plan de réformes budgétaires afin d'honorer les promesses de campagne.
En échange, le gouvernement grec cherche à obtenir une plus grande souplesse de la part de ses créanciers européens, notamment la contrainte sur l'excédent budgétaire primaire de 4,5% du PIB, qui sert à rembourser la dette.
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