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La Bourse grecque a gagné, durant la seule journée du mardi 3 février, rien moins que 11,27%. Un résultat impressionnant qui suit la tendance de ces derniers jours : la place boursière a refait toutes ses pertes d'avant les élections législatives du 25 janvier, soit 840,57 points.
Après l'élection du parti Syriza de gauche radicale, la Bourse et les investisseurs avaient pris peur : ils craignaient en effet la sortie du pays de la zone euro, une menace pas dénuée de fondements puisque l'Allemagne, entre autres, avait fait entendre que rien n'était impossible.
Mais le ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis, actuellement en tournée en Europe pour discuter avec ses homologues de la zone euro, semble avoir obtenu des gages des créanciers du pays. De plus, les premières mesures détaillées par le gouvernement sont aussi de nature à rasséréner les boursicoteurs, tout particulièrement cette idée d'émettre des obligations dont le remboursement est lié à la croissance du pays, ou encore la mise en place d'obligations perpétuelles qui remplaceraient celles détenues par la BCE.
Les banques sont parmi les valeurs qui profitent le plus du rebond athéniens : leurs actions ont collectivement gagné 17,96%.
Après l'élection du parti Syriza de gauche radicale, la Bourse et les investisseurs avaient pris peur : ils craignaient en effet la sortie du pays de la zone euro, une menace pas dénuée de fondements puisque l'Allemagne, entre autres, avait fait entendre que rien n'était impossible.
Mais le ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis, actuellement en tournée en Europe pour discuter avec ses homologues de la zone euro, semble avoir obtenu des gages des créanciers du pays. De plus, les premières mesures détaillées par le gouvernement sont aussi de nature à rasséréner les boursicoteurs, tout particulièrement cette idée d'émettre des obligations dont le remboursement est lié à la croissance du pays, ou encore la mise en place d'obligations perpétuelles qui remplaceraient celles détenues par la BCE.
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