© Shutterstock/EconomieMatin
Mais le 30 juin, il faudra impérativement qu’Athènes fasse le chèque, sinon le pays se retrouverait en défaut de paiement. Cette perspective s’approche de jour en jour, et le scénario a même été discuté durant une réunion préparatoire à l’Eurogroupe, qui se tiendra jeudi prochain. D’ici là, la Grèce devra avoir présenté des mesures et des concessions.
Si ces propositions sont jugées intéressantes, alors le groupe qui finance la Grèce à bout de bras pourra débloquer la dernière tranche du plan d’aide international pour Athènes — ces 7,2 milliards d’euros sont particulièrement attends pour redonner au pays un peu d’air. Mais en l’absence de volonté de réformes sur des sujets, il est vrai, douloureux pour le gouvernement d’Alexis Tsipras (les retraites et la TVA), cet argent n’est que virtuel.
L’idéal, explique-t-on à l’Eurogroupe, serait de trouver une porte de sortie jeudi prochain. Mais la Grèce voudra-t-elle réellement faire des concessions ?
Si ces propositions sont jugées intéressantes, alors le groupe qui finance la Grèce à bout de bras pourra débloquer la dernière tranche du plan d’aide international pour Athènes — ces 7,2 milliards d’euros sont particulièrement attends pour redonner au pays un peu d’air. Mais en l’absence de volonté de réformes sur des sujets, il est vrai, douloureux pour le gouvernement d’Alexis Tsipras (les retraites et la TVA), cet argent n’est que virtuel.
L’idéal, explique-t-on à l’Eurogroupe, serait de trouver une porte de sortie jeudi prochain. Mais la Grèce voudra-t-elle réellement faire des concessions ?