En ce qui concerne le secteur de la santé, il s'agit de dénoncer les dérégulations, les suppressions de postes, les réorganisations « permanentes » selon les syndicats. Les personnels protesteront également contre « les regroupements d'hôpitaux (GHT), imposés par la loi Touraine ». Du côté de la fonction publique territoriale, cette journée d'action est organisée pour dénoncer une réforme qui entraîne la fusion de communes, de conseils régionaux et la création de nouvelles métropoles.
Ces mouvements obligent les agents à une mobilité imposée et in fine, à un service public qui se dégrade. Des causes communes sont également au cœur des revendications, à l'instar de la revalorisation du point d'indice gelé pendant plusieurs années ; en 2016, le gouvernement a tout de même fait un geste avec un dégel et une hausse de 1,2% qui s'est opérée en deux temps, d'abord en juillet, puis en février.
Mais cette progression est jugée insuffisante par les représentants des fonctionnaires. Les syndicats demandent également, plus globalement, l'arrêt des restructurations ainsi que des suppressions de postes. Ils entendent pour finir défendre le statut des fonctionnaires, mis à mal par certains candidats à l'élection.
Ces mouvements obligent les agents à une mobilité imposée et in fine, à un service public qui se dégrade. Des causes communes sont également au cœur des revendications, à l'instar de la revalorisation du point d'indice gelé pendant plusieurs années ; en 2016, le gouvernement a tout de même fait un geste avec un dégel et une hausse de 1,2% qui s'est opérée en deux temps, d'abord en juillet, puis en février.
Mais cette progression est jugée insuffisante par les représentants des fonctionnaires. Les syndicats demandent également, plus globalement, l'arrêt des restructurations ainsi que des suppressions de postes. Ils entendent pour finir défendre le statut des fonctionnaires, mis à mal par certains candidats à l'élection.
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