Entre début juillet et fin septembre, les chômeurs inscrits dans la catégorie A (n'ayant pas du tout travaillé) ont augmenté de 0,5%, soit 16 300 demandeurs d'emploi en plus. Quand on ajoute les chômeurs des catégories B et C (activité réduite et activité réduite longue), la hausse du chômage est de 0,4% sur le trimestre, soit 21 700 personnes supplémentaires. En France métropolitaine, le nombre d'inscrits dans les trois principales catégories s'établit à 5,6 millions, dont 3,4 millions en catégorie A et 2,2 millions dans les deux autres catégories.
Avec l'ajout de l'outre-mer, le nombre de chômeurs des trois catégories est de 5,9 millions au troisième trimestre, c'est 0,4% de plus. Sur un an, la progression du nombre de demandeurs d'emplois en France est de 0,7%. Il faut voir les évolutions sur les douze derniers mois pour voir que les choses sont plus nuancées ; ainsi, en France métropolitaine, le nombre de chômeurs de catégorie A recule de 1,2% sur un an. Pour les trois catégories, le chômage baisse de 0,6%.
Cette fournée de chiffres confirme la difficulté de réduire durablement le chômage quand l'activité économique en France est réduite. La croissance au début d'année n'a pas été au rendez-vous avec 0,2% au premier trimestre et autant au second. Le deuxième semestre devrait être mieux engagé avec des prévisions de 0,5% au troisième trimestre et 0,4% durant les trois derniers mois de l'année. L'Insee prévoit un taux de chômage de 8,9% en fin d'année.
Avec l'ajout de l'outre-mer, le nombre de chômeurs des trois catégories est de 5,9 millions au troisième trimestre, c'est 0,4% de plus. Sur un an, la progression du nombre de demandeurs d'emplois en France est de 0,7%. Il faut voir les évolutions sur les douze derniers mois pour voir que les choses sont plus nuancées ; ainsi, en France métropolitaine, le nombre de chômeurs de catégorie A recule de 1,2% sur un an. Pour les trois catégories, le chômage baisse de 0,6%.
Cette fournée de chiffres confirme la difficulté de réduire durablement le chômage quand l'activité économique en France est réduite. La croissance au début d'année n'a pas été au rendez-vous avec 0,2% au premier trimestre et autant au second. Le deuxième semestre devrait être mieux engagé avec des prévisions de 0,5% au troisième trimestre et 0,4% durant les trois derniers mois de l'année. L'Insee prévoit un taux de chômage de 8,9% en fin d'année.