Cette enquête a duré plusieurs mois, et a consisté aussi bien en des tests de résistance qu'une revue des actifs de ces banques. Dans le scénario de base, le besoin de recapitalisation est de 4,4 milliards d'euros ; dans le scénario le plus défavorable, impliquant une forte dégradation des conditions financières et économiques en Grèce, les besoins sont de 14,4 milliards d'euros.
C'est une somme certes, mais elle est moins élevée que ce que les partenaires d'Athènes avaient prévu. Des quatre banques en question, Alpha Bank, Eurobank, NBG et Piraeus Bank, c'est cette dernière qui est la plus fragile avec une recapitalisation de 5 milliards d'euros en cas de scénario défavorable.
Ces établissement sont jusqu'au 6 novembre pour présenter un plan de refinancement à l'autorité européenne de supervision, un organisme créé en 2014 par la BCE pour superviser le secteur bancaire grec.
C'est une somme certes, mais elle est moins élevée que ce que les partenaires d'Athènes avaient prévu. Des quatre banques en question, Alpha Bank, Eurobank, NBG et Piraeus Bank, c'est cette dernière qui est la plus fragile avec une recapitalisation de 5 milliards d'euros en cas de scénario défavorable.
Ces établissement sont jusqu'au 6 novembre pour présenter un plan de refinancement à l'autorité européenne de supervision, un organisme créé en 2014 par la BCE pour superviser le secteur bancaire grec.