Ce nouveau couac des autorités va sans aucun doute laisser des traces, et relancer un mouvement dont elles ont tenté, en vain, de couper les ailes… et alors que l'opposition dans la rue à la loi El Khomri commençait à connaitre des signes de fatigue. La préfecture de police de Paris a, dans la journée du mercredi 22 juin, interdit purement et simplement le cortège prévu par les sept syndicats et organisations.
Mais quelques heures plus tard, la manifestation est finalement autorisée par le ministère de l'Intérieur, sur un trajet bien défini et « très court » d'1,6 kilomètre, a expliqué Jean-Claude Mailly de FO. De fait, ce cortège ira de Bastille à Bastille, avec un service d'ordre « renforcé », a assuré Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT.
« Les organisations syndicales et de jeunesse ont obtenu le droit de manifester à Paris le 23 juin sur un parcours proposé par le ministre de l'Intérieur, ainsi que l'autorisation de manifester le 28 juin selon des modalités à discuter avec la préfecture », s'est réjoui Philippe Martinez après une réunion avec l'intersyndicale. Celle-ci réclament désormais à être reçue par François Hollande.
Mais quelques heures plus tard, la manifestation est finalement autorisée par le ministère de l'Intérieur, sur un trajet bien défini et « très court » d'1,6 kilomètre, a expliqué Jean-Claude Mailly de FO. De fait, ce cortège ira de Bastille à Bastille, avec un service d'ordre « renforcé », a assuré Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT.
« Les organisations syndicales et de jeunesse ont obtenu le droit de manifester à Paris le 23 juin sur un parcours proposé par le ministre de l'Intérieur, ainsi que l'autorisation de manifester le 28 juin selon des modalités à discuter avec la préfecture », s'est réjoui Philippe Martinez après une réunion avec l'intersyndicale. Celle-ci réclament désormais à être reçue par François Hollande.