La forte activité serait due à des taux bas et à un effet de rattrapage
Selon le Conseil supérieur du notariat, la hausse spectaculaire de l’activité observée sur le marché de l’immobilier constitue un rattrapage des ventes non réalisées les années précédentes. D’autre part, la demande serait alimentée par des taux bas, et devrait continuer à l’être tant que les taux ne remonteront pas fortement (suffisamment pour frapper les esprits en tout cas).
La forte activité sur le marché des crédits immobiliers, quant à elle, s’expliquerait par le nombre important de rachats d’anciens crédits aux taux moins favorables. Mais une certaine baisse s’observe depuis début 2017, le nombre de crédits à racheter ayant naturellement diminué. En mai 2017, ces crédits constituaient 42 % de l’ensemble des prêts octroyés, contre 62 % en janvier 2017.
La forte activité sur le marché des crédits immobiliers, quant à elle, s’expliquerait par le nombre important de rachats d’anciens crédits aux taux moins favorables. Mais une certaine baisse s’observe depuis début 2017, le nombre de crédits à racheter ayant naturellement diminué. En mai 2017, ces crédits constituaient 42 % de l’ensemble des prêts octroyés, contre 62 % en janvier 2017.
Immobilier ancien : des prix en hausse de 2,7 % sur un an
Les prix des logements anciens continuent d’augmenter au premier trimestre 2017, de 1,6 % par rapport au quatrième trimestre 2016 et de 2,7 % sur un an, après +1,5 % le trimestre précédent. Sur un an, la hausse est plus importante pour les appartements (+3,2 %) que pour les maisons (+2,3 %).
En Île-de-France, sur un an, la hausse des prix continue aussi de s’amplifier: +3,8 % par rapport au premier trimestre 2016, après +2,6 % et +2 %. Cette accélération est principalement tirée par les prix des appartements (+4,5 % sur un an), notamment des appartements parisiens dont les prix augmentent de 5,5 % sur l’année. En province, si les prix de l’ancien accélèrent également, mais s’accroissent de façon moins marquée: +2,2 % entre le premier trimestre 2016 et le premier trimestre 2017.
En Île-de-France, sur un an, la hausse des prix continue aussi de s’amplifier: +3,8 % par rapport au premier trimestre 2016, après +2,6 % et +2 %. Cette accélération est principalement tirée par les prix des appartements (+4,5 % sur un an), notamment des appartements parisiens dont les prix augmentent de 5,5 % sur l’année. En province, si les prix de l’ancien accélèrent également, mais s’accroissent de façon moins marquée: +2,2 % entre le premier trimestre 2016 et le premier trimestre 2017.
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