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C'est la filiale logistique du groupe qui sera frappée par ce plan de restructuration qui devrait durer jusqu'en 2018. Présenté aux représentants du personnel par la direction ce mardi 12 mai 2015 le plan devrait supprimer 447 postes nets. Mais les syndicats estiment que l'impact sur l'emploi sera plus important.
En effet les 447 postes ne sont pas le seul changement : si 241 postes seront normalement créés dans certaines bases mixtes, pas moins de 401 employés se verront proposer une mutation. Mais pour les syndicats une bonne partie de ces employés ne pourront pas accepter cette même mutation car le déplacement pourrait être de plusieurs centaines de kilomètres. Ces employés en question se verront donc automatiquement sans emploi.
Du coup els syndicats estiment plus à 600 qu'à 450 les emplois supprimés par le groupe et ils prennent pour exemple le plan de restructuration de 2012 de la base de Narbonne. Sur les 215 personnes qui se sont vues proposer une mutation quasiment la moitié (105 selon les syndicats) a refusé cette même mutation. Si les rapports restent sensiblement les mêmes se seront donc 200 employés qui ne suivront pas la mutation proposée.
Les bases logistiques concernées sont d'ailleurs déjà connues : Rostrenen (Côtes-d’Armor), Saint-Gérand (Morbihan), Levet (Cher), Avermes (Allier), Magny-le-Désert (Orne) et Mellac (Finistère) vont fermer tandis que trois nouvelles bases à Neulliac (Morbihan), Erbrée (Ille-et-Vilaine) et Bourges (Cher) vont être créées.
En effet les 447 postes ne sont pas le seul changement : si 241 postes seront normalement créés dans certaines bases mixtes, pas moins de 401 employés se verront proposer une mutation. Mais pour les syndicats une bonne partie de ces employés ne pourront pas accepter cette même mutation car le déplacement pourrait être de plusieurs centaines de kilomètres. Ces employés en question se verront donc automatiquement sans emploi.
Du coup els syndicats estiment plus à 600 qu'à 450 les emplois supprimés par le groupe et ils prennent pour exemple le plan de restructuration de 2012 de la base de Narbonne. Sur les 215 personnes qui se sont vues proposer une mutation quasiment la moitié (105 selon les syndicats) a refusé cette même mutation. Si les rapports restent sensiblement les mêmes se seront donc 200 employés qui ne suivront pas la mutation proposée.
Les bases logistiques concernées sont d'ailleurs déjà connues : Rostrenen (Côtes-d’Armor), Saint-Gérand (Morbihan), Levet (Cher), Avermes (Allier), Magny-le-Désert (Orne) et Mellac (Finistère) vont fermer tandis que trois nouvelles bases à Neulliac (Morbihan), Erbrée (Ille-et-Vilaine) et Bourges (Cher) vont être créées.