Ce chiffre prend en compte ce que les Français ont gagné, par rapport aux mises dans des jeux aussi populaires que le PMU, les tickets à gratter, ou encore dans les casinos. La moitié de ces 10 milliards part dans la poche de l'État, et une bonne partie du reste dans celles des entreprises qui organisent ces jeux.
L'argent investi (souvent en pure perte) dans ces jeux de hasard a augmenté de 2% sur l'année, un taux supérieur à l'inflation (qui s'est montée à +0,3%) et plus encore que les dépenses des ménages. En revanche, la part des jeux d'argent dans la consommation totale des Français a peu évolué : elle se monte à 0,8%, alors qu'elle était de 0,9% en 2004.
Ce sont les paris sportifs en ligne qui ont le plus progressé en 2015, avec une croissance de 19%. Les grands événements (type coupe du monde de rugby) attirent évidemment les parieurs, mais c'est toujours le football qui draine les joueurs (qui représente 61% des paris). La Française des Jeux a elle aussi le vent en poupe, l'entreprise ayant même enregistré un record historique des mises !
Les casinos ont également connu une meilleure année avec une hausse des mises de près de 3%. Par contre, le PMU et les sites de poker en ligne sont les perdants de l'année, avec des baisses des paris de 2% pour le premier, et de 4% pour les seconds.
L'argent investi (souvent en pure perte) dans ces jeux de hasard a augmenté de 2% sur l'année, un taux supérieur à l'inflation (qui s'est montée à +0,3%) et plus encore que les dépenses des ménages. En revanche, la part des jeux d'argent dans la consommation totale des Français a peu évolué : elle se monte à 0,8%, alors qu'elle était de 0,9% en 2004.
Ce sont les paris sportifs en ligne qui ont le plus progressé en 2015, avec une croissance de 19%. Les grands événements (type coupe du monde de rugby) attirent évidemment les parieurs, mais c'est toujours le football qui draine les joueurs (qui représente 61% des paris). La Française des Jeux a elle aussi le vent en poupe, l'entreprise ayant même enregistré un record historique des mises !
Les casinos ont également connu une meilleure année avec une hausse des mises de près de 3%. Par contre, le PMU et les sites de poker en ligne sont les perdants de l'année, avec des baisses des paris de 2% pour le premier, et de 4% pour les seconds.