En l'occurrence, Free exploite les réseaux 2G et 3G d'Orange là où sa propre couverture n'existe pas. Du moins, là où elle n'existait pas car Iliad, la maison-mère de Free Mobile, a multiplié les investissements ces dernières années afin de muscler son propre réseau. À tel point que l'opérateur devrait pouvoir voler de ses propres ailes, sans l'aide d'Orange.
C'est du moins le point de vue de l'Arcep, le gendarme de la téléphonie et des télécoms, et de l'Autorité de la concurrence. L'Arcep en particulier réclamait des deux partenaires un éclaircissement sur la date de fin de ce contrat d'itinérance ; Free et Orange avait jusqu'à aujourd'hui, mercredi 15 juin, pour donner cette précision.
Il était moins une, mais c'est désormais fait ; Iliad a fait savoir que Free et Orange avaient signé un avenant à leur contrat, qui court jusqu'à la fin 2020. D'ici là, Free va se désengager progressivement du réseau de son partenaire, et l'entreprise rappelle qu'elle couvre 84,5% de la population en 3G, et 68,3% en 4G.
C'est du moins le point de vue de l'Arcep, le gendarme de la téléphonie et des télécoms, et de l'Autorité de la concurrence. L'Arcep en particulier réclamait des deux partenaires un éclaircissement sur la date de fin de ce contrat d'itinérance ; Free et Orange avait jusqu'à aujourd'hui, mercredi 15 juin, pour donner cette précision.
Il était moins une, mais c'est désormais fait ; Iliad a fait savoir que Free et Orange avaient signé un avenant à leur contrat, qui court jusqu'à la fin 2020. D'ici là, Free va se désengager progressivement du réseau de son partenaire, et l'entreprise rappelle qu'elle couvre 84,5% de la population en 3G, et 68,3% en 4G.