De 2005 à 2007, la Deutsche Bank avait procédé à des transactions de titres financiers à risque adossés à des crédits immobiliers douteux, les fameux subprimes. Après l’annonce de l’amende à 14 milliards de dollars, la banque a négocié avec les autorités américaines pour ramener la somme dans des proportions moins importantes.
Le résultat de ces négociations est tombé ce vendredi 23 décembre, un peu comme un cadeau de Noël pour la Deutsche Bank : la somme est divisée par deux, à 7,2 milliards de dollars. Il ne s’agit pour le moment que d’un accord de principe « sans assurance » d’un accord définitif, mais le contentieux semble bel et bien réglé entre les deux parties.
L’amende civile s’élève à 3,1 milliards de dollars ; la Deutsche Bank devra par ailleurs s’acquitter de 4,1 milliards pour dédommager les clients. Ces derniers, propriétaires et emprunteurs sur cinq ans, se verront proposer des modifications de leurs prêts ainsi que des aides. La banque a aussi tenu à rassurer ses employés : la société est bien à même de faire face à cette amende sans augmentation de capital.
Le résultat de ces négociations est tombé ce vendredi 23 décembre, un peu comme un cadeau de Noël pour la Deutsche Bank : la somme est divisée par deux, à 7,2 milliards de dollars. Il ne s’agit pour le moment que d’un accord de principe « sans assurance » d’un accord définitif, mais le contentieux semble bel et bien réglé entre les deux parties.
L’amende civile s’élève à 3,1 milliards de dollars ; la Deutsche Bank devra par ailleurs s’acquitter de 4,1 milliards pour dédommager les clients. Ces derniers, propriétaires et emprunteurs sur cinq ans, se verront proposer des modifications de leurs prêts ainsi que des aides. La banque a aussi tenu à rassurer ses employés : la société est bien à même de faire face à cette amende sans augmentation de capital.