L’annonce n’a d’ailleurs pas tardé. Shinzo Abe a ainsi effectivement annoncé ce fameux report de deux ans et demi devant les membres de sa formation, le Parti libéral-démocrate. La TVA devait passer de 8 à 10%, une augmentation qui a pour objet de faire face à des dépenses sociales toujours plus élevées étant donné le vieillissement de la population japonaise.
Mais cette augmentation, très impopulaire au sein de la population évidemment, a déjà subi un premier report en octobre 2015 : elle devait finalement être mise en place en avril 2017, puis désormais la date de cette hausse est prévue pour octobre 2019. Avant un nouveau report ? Peut-être que Shinzo Abe ne sera plus au pouvoir : il laisse donc un éventuel successeur se débrouiller avec cette mesure. De plus, une précédente augmentation de la TVA, au printemps 2014, avait « cassé » la reprise d’alors.
Le Premier ministre fait face à un barrage de critiques concernant sa politique économique, baptisées « Abenomics » (souplesse budgétaire, assouplissement monétaire et réformes de structures). Un nouveau train de mesures censées réformer le marché du travail, qualifié de trop rigide par les économistes. Ce plan représenterait un total de 80 milliards d’euros.
Mais cette augmentation, très impopulaire au sein de la population évidemment, a déjà subi un premier report en octobre 2015 : elle devait finalement être mise en place en avril 2017, puis désormais la date de cette hausse est prévue pour octobre 2019. Avant un nouveau report ? Peut-être que Shinzo Abe ne sera plus au pouvoir : il laisse donc un éventuel successeur se débrouiller avec cette mesure. De plus, une précédente augmentation de la TVA, au printemps 2014, avait « cassé » la reprise d’alors.
Le Premier ministre fait face à un barrage de critiques concernant sa politique économique, baptisées « Abenomics » (souplesse budgétaire, assouplissement monétaire et réformes de structures). Un nouveau train de mesures censées réformer le marché du travail, qualifié de trop rigide par les économistes. Ce plan représenterait un total de 80 milliards d’euros.