En octobre, les prix ont progressé de 2,2% sur les douze derniers mois d'après l'Insee. Une inflation qui a progressé deux fois plus rapidement que l'an dernier. Cette hausse des prix a un impact sensible sur le pouvoir d'achat des Français, car très concrètement certains produits sont plus chers, à commencer par l'essence qui contribue tout particulièrement à la flambée des prix. La hausse des prix de l'énergie pèse ainsi pour la moitié de l'inflation mesurée en octobre. Les taxes sur l'essence représentent un tiers de la progression des prix de l'énergie ; le reste est dû à la hausse des cours du pétrole.
Il n'y a pas que le prix de l'essence à la pompe qui grève le pouvoir d'achat, il y a aussi le coût du chauffage au fioul qui est impacté par la hausse des prix de l'énergie. Les Français les plus sensibles à ces augmentations se serrent déjà la ceinture, ce qui explique la grogne des automobilistes actuellement. Une grogne dans laquelle s'engouffrent les oppositions au gouvernement qui réclament des mesures de soutien. L'exécutif reste pour le moment ferme sur ses positions.
La fin de l'année devrait toutefois être mieux orientée avec une inflation qui devrait se réduire : l'Insee l'estime ainsi à 1,8% en décembre, sur un an. Un recul qui s'explique par la différence avec les cours du baril enregistrés durant l'été 2017 et qui étaient supérieurs aux 76 $ actuels. De quoi souffler un peu pour les Français touchés par ces prix en hausse.
Il n'y a pas que le prix de l'essence à la pompe qui grève le pouvoir d'achat, il y a aussi le coût du chauffage au fioul qui est impacté par la hausse des prix de l'énergie. Les Français les plus sensibles à ces augmentations se serrent déjà la ceinture, ce qui explique la grogne des automobilistes actuellement. Une grogne dans laquelle s'engouffrent les oppositions au gouvernement qui réclament des mesures de soutien. L'exécutif reste pour le moment ferme sur ses positions.
La fin de l'année devrait toutefois être mieux orientée avec une inflation qui devrait se réduire : l'Insee l'estime ainsi à 1,8% en décembre, sur un an. Un recul qui s'explique par la différence avec les cours du baril enregistrés durant l'été 2017 et qui étaient supérieurs aux 76 $ actuels. De quoi souffler un peu pour les Français touchés par ces prix en hausse.